• Bonjour à toutes et tous....

    Donc depuis lundi j'ai commencé mes séances de radiothérapie, pour l'instant je ne ressens aucun effet secondaire si ce n'est que comme lors de la chimiothérapie un peu de fatigue ce qui semble être normal car les déplacements quotidiens, l'attente lors des rendez-vous et le traitement lui-même peuvent provoquer une fatigue physique ou même morale. Je vous rassure, côté morale je tiens bon !

    Pour info et pour celles et ceux qui ne sont pas venu depuis mon dernier billet de santé, j'ai repris une petite activité sur mon blog comme le montrent les trois derniers articles et le quatrième qui suit.

    Bonne fin de semaine

    Bisous

    - RECYCLAGE.....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

    XXXX RECYCLAGE

    Une idée astucieuse

    Une idée innovatrice !

    Réutiliser les Bouchons des bouteilles de Plastique !!!

    Voici comment sceller un sac de plastique pratiquement sous-vide !
    Découper une bouteille d'eau en gardant le cou de la bouteille

    comme sur la photo.

    Insérez le sac en plastique à-travers le cou et refermer

    le bouchon par-dessus.

    C'est une bonne idée à partager à tous et excellente

    pour l'environnement !!!

    -19-09- RECYCLAGE.....ET L'HUMOUR DU JOUR

    Un vieux monsieur fréquente le même club du troisième âge qu'une veuve qu'il aime secrètement.
    Un jour, prenant son courage à deux mains, il la demande en mariage et elle accepte avec enthousiasme.
    Le lendemain le vieux monsieur lui téléphone :
    "Ce que je vais vous dire est un peu embarrassant, mais hier je vous ai demandé en mariage et je ne me souviens pas si vous m'avez répondu oui ou non ?"
    "Oh ! comme je suis contente que vous m'appeliez, je me souviens d'avoir dit oui, mais je ne savais plus à qui."

    La bosse des affaires
    Le journaliste rencontre un entrepreneur qui est devenu immensément riche...
    - Quel est le secret de votre réussite ?
    - Simple. Il faut avoir la conviction que l'argent n'a pas d'importance et que le travail acharné est la source du succès. Le travail, c'est la seule chose qui compte.
    - C'est comme ça que vous êtes devenu riche.
    - Oui. Quand j'ai réussi à mettre ça dans la tête de mon personnel.

    - RECYCLAGE.....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

    - RECYCLAGE.....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

    - RECYCLAGE.....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

    - RECYCLAGE.....ET L'HUMOUR DU JOUR.....


    13 commentaires
  • -22-09-DEUX AMIS PAS STRESSES DU TOUT !.....ET L'HUMOUR DU JOUR

    Amitié spéciale adorable

    Une amitié d'animaux adorable.

    Bubbles l'éléphant d'Afrique et Bella le labrador noir, deux résidents de la Myrtle Beach en Caroline du Sud Safari ,sont devenus des meilleurs amis. Bubbles a été sauvé en Afrique après que ses parents étaient tous deux trouvés tués par des braconniers pour leur ivoire. Bubbles lance la balle avec sa trompe pendant que Bella saute de la tête de Bella ou du dos et nage à récupérer la balle.

    -22-09-DEUX AMIS PAS STRESSES DU TOUT !.....ET L'HUMOUR DU JOUR

    Les vieux jours de Cendrillon
    Cendrillon a 75 ans. Après une vie heureuse avec son mari, le prince maintenant décédé, elle passe ses journées sur son perron dans une chaise berçante à observer le monde avec son chat Bob sur ses genoux.
    Elle est heureuse.
    Par un bel après-midi, dans un nuage, apparait soudain sa marraine, la bonne fée.
    - Cendrillon, tu as vécu une vie exemplaire. Que puis-je faire pour toi ? Tiens, que dirais-tu de trois souhaits que je pourrais t'exaucer ?
    Cendrillon est surprise, joyeuse et rouge de confusion. Après y avoir réfléchi, elle murmure:
    - J'aimerais être immensément riche.
    À l'instant même, sa chaise berçante se change en or massif. Cendrillon est abasourdie et elle s'écrie: «Oh ! Marraine, Merci»!
    - J'aimerais être belle et jeune à nouveau.
    Instantanément, elle retrouve sa beauté d'antan. Cendrillon ressent en elle des sentiments qu'elle n'a pas ressenti depuis longtemps, des élans oubliés, des ardeurs...
    Et comme dernier souhait ?
    - Je veux que tu transformes mon chat Bob en un beau et gentil jeune homme.
    Pfiou ! Bob est transformé en un magnifique spécimen mâle d'une beauté inouïe.
    - Maintenant Cendrillon ! Amuses toi bien dans ta nouvelle vie. Au revoir !
    Bob et Cendrillon se regardent tendrement. Cendrillon est hypnotisée à la vue du plus bel homme qu'elle n'aie jamais vu. Puis Bob s'avance langoureusement vers elle, la prend dans ses bras musclés et lui murmure à l'oreille. Pourquoi tu m'as fait castrer, p'tite idiote.

    -DEUX AMIS PAS STRESSES DU TOUT !.....ET L'HUMOUR DU JOUR......

    -22-09-DEUX AMIS PAS STRESSES DU TOUT !.....ET L'HUMOUR DU JOUR

    -DEUX AMIS PAS STRESSES DU TOUT !.....ET L'HUMOUR DU JOUR......

    -22-09-DEUX AMIS PAS STRESSES DU TOUT !.....ET L'HUMOUR DU JOUR

    -DEUX AMIS PAS STRESSES DU TOUT !.....ET L'HUMOUR DU JOUR......


    10 commentaires
  • -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    Entendre que l'on nous aime.
    " Les vrais ami(e)s viennent dans les bons moments quand on les appelle et dans les mauvais... ils viennent d'eux même.

     

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    POURQUOI CHOISIR D'ÊTRE INCINÉRÉ ???

    Au départ, Nous sommes créés d'une « étincelle » d'amour.

    La première année, Nous sommes la « flamme » de nos parents.

    On se fait ensuite « chauffer » les fesses jusqu'à notre adolescence.

    Suit la période où un rien nous « allume ».

    Et dans la vingtaine, on pète le « feu ».

    Ensuite, on « (On bûche) » jusqu'à 65 ans

    À 75 ans, on est « brûlé ».

    À 80 ans, on se ramasse dans un « (foyer) ».

    Pis à 90 ans (on s'éteint) Alors, pourquoi demander à être incinéré ?

    On est déjà « (cuit) » de toute façon.

    Si tu choisis l'incinération,

    Sache que ce sera ta dernière « (cuite) ».

    Tandis qu'enterré,

    Tu auras toujours une chance d'avoir un....

    Petit ver dans le nez !

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    Deux fois plus
    Un menuisier qui travaille au 3e étage, laisse échapper son marteau.
    Il descend pour le chercher. Le petit gars qui est en bas lui dit:
    - Mon papa a toujours deux marteaux, comme ça, si il en échappe un, il n'est pas obligé de descendre, et de perdre du temps.
    L'homme le regarde, et ne lui répond pas.
    Quelques minutes plus tard, le menuisier laisse échapper son ruban à mesurer.
    - Merde de merde grogne l'homme qui doit redescendre.
    Le p'tit gars lui fait le même commentaire et l'homme hausse les épaules.
    Une heure plus tard, l'homme descend pour pisser le long du mur.
    Le p'tit gars le regarde.
    - Tu ne vas quand même pas me dire que ton père en a deux !
    - Oui m'sieur, une petite pour pisser, et un grosse pour maman !

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....


    6 commentaires
  • -HISTOIRE A FAIRE RÊVER ....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

    -23-09--HISTOIRE A FAIRE RËVER ....ET L'HUMOUR DU JOUR2

    Voici la première partie de mon dernier billet

    de septembre 2015 restée sans la suite....

    "Histoire à faire rêver"

    > Pas d’école pour Tisha <

     

    Pas d’école pour Tisha (suite)

    CHAPITRE 3

    Il sembla à Tisha que jamais la voiture ne s’arrêterait. La ville était si loin... Elle finit par s’endormir, jusqu’à ce que Zana la secoue :

    — Le voyage est terminé.

    La voiture était garée devant une magnifique maison. Dans le jardin jouaient deux enfants. Une dame, très belle, sortit. Tata Zana la salua et désigna Tisha :

    — La voilà.

    La dame dévisagea la fillette.

    — Bienvenue, petite.

    Puis elle s’adressa à Zana :

    — J’espère que ça ira.

    Avec un sourire aussi froid que les écailles d’un iguane, la belle dame guida les nouvelles arrivées au cœur de sa maison. Là, elle fit asseoir Zana au salon et lui servit du jus de fruits. Quant à Tisha, elle semblait ne plus la voir.

    — Va boire à la cuisine, lui chuchota Tata Zana.

    Tisha se perdit dans les nombreux couloirs. Lorsqu’elle revint, Tata Zana comptait une liasse de billets. Apercevant la fillette, elle cacha l’argent et dit :

    — Je reviendrai te voir dans quelques mois. D’ici là, obéis bien à la dame.

    En regardant la voiture s’éloigner, le cœur de Tisha se serra : Tata Zana était son dernier lien avec le village.

    À ce moment, un chaton efflanqué vint se frotter contre ses jambes. Tisha voulut le prendre dans ses bras, mais la dame le chassa d’un coup de pied en soupirant :

    — Je suis épuisée ce soir. Lave les enfants s’il te plaît. Puis tu prépareras le dîner. Ah oui ! Et bien sûr, ensuite, tu n’oublieras pas de nettoyer la cuisine.

    Ce soir-là, Tisha eut du mal à s’endormir. Était-ce d’être loin de sa maison ? Ou parce que la belle dame semblait si différente de sa maman ? « Ça ira mieux demain », se dit-elle pour se donner du courage. Et elle plongea au plaisir que devait ressentir Mamala en l’imaginant à l’école bientôt.

    Le lendemain, en aidant les enfants de la maison à s’habiller pour l’école, Tisha questionna :

    — Dois-je mettre, moi aussi, un uniforme pour aller à l’école ?

    Mais la dame répondit :

    — Tu n’iras pas en classe aujourd’hui, car j’ai des invités ce soir et j’ai besoin de toi pour tout préparer.

    Et Tisha passa sa journée à frotter la maison.

    Le lendemain, Tisha demanda :

    — Est-ce aujourd’hui que je commence l’école ?

    Mais la dame annonça :

    — Tu n’auras pas le temps, car c’est jour de marché.

    Et Tisha dû porter de lourds paniers, éplucher des légumes et cuisiner toute la journée. Le troisième jour, Tisha osa dire :

    — Je voudrais bien aller à l’école.

    Mais la dame répliqua :

    — Comment serait-ce possible avec ta robe trouée ?

    Ce soir-là, en faisant la vaisselle, Tisha fit tomber une assiette. La dame s’emporta :

    — Maladroite ! Ma belle assiette ! Pour la peine, je ne te donnerai pas à manger aujourd’hui !

    À compter de ce jour, chaque matin Tisha se levait la première dans la grande maison.

    Et chaque soir elle se couchait la dernière, épuisée.

    CHAPITRE 4

    Un matin, alors qu’elle allait au marché, affamée, Tisha eut une idée. Dans l’allée centrale, elle avait remarqué une marchande qui, souvent, lui souriait gentiment. En plus de vendre ses légumes, elle cuisinait des sauces au piment et des boulettes de fufu. Tisha regardait avec envie les clients qui se léchaient les doigts après avoir terminé leur assiette.

    Si Tisha arrivait à négocier les légumes qu’elle devait acheter avec l’argent de la dame, peut-être pourrait-elle s’offrir à manger avec les pièces économisées. S’approchant de la marchande, elle rassembla son courage et dit :

    — Tes tomates sont belles. Mais celles d’à côté sont moins chères. Fais-moi un prix et je t’en prendrai deux sacs. La marchande sourit :

    — Deux sacs ? Ce n’est pas assez. Achète-moi trois et j’ajouterai des tomates gratuites.

    Tisha fut déçue. Bien sûr, elle pourrait manger les tomates offertes, mais cela remplissait moins le ventre qu’une assiette de fufu à la sauce. Pourtant, cet arrangement valait mieux que rien.

    Soudain, la marchande reprit :

    — Tu as l’air maligne. Rends-moi service et je te donnerai un repas.

    Tisha hésita. Si elle rentrait tard, que dirait la belle dame ? En même temps, elle avait tellement faim...

    — Un voisin doit me livrer plusieurs kilos d’ignames sur le parking, là-bas, expliqua la marchande. Rapporte-les-moi, et, quand tu auras fini, tu auras ton repas.

    La proposition sembla honnête à Tisha. Elle allait ressembler à tous ces enfants sur la place qui, pour quelques pièces, portaient toutes marchandises dans d’énormes bassines sur la tête. La fillette répondit : — D’accord ! Mais donne-moi à manger d’abord.

    La marchande éclata de rire :

    — Oui, décidément, tu es maligne ! Et elle lui servit une assiette débordant de nourriture parfumée, Tisha la dévora sans même prendre le temps de remercier. Sur le chemin du retour, Tisha chantonnait. Certes, elle avait travaillé dur, mais le goût de la sauce sur la langue lui rappelait la cuisine de Mamala. Et la marchande, en plus, lui avait donné quelques pièces. À peine fut-elle rentrée dans la maison que la dame se mit à crier :

    — Où étais-tu ? Voici plus d’une heure que je t’attends. Et qu’est-ce que c’est que cette tache de sauce !

    La dame empoigna la fillette par le bras et serra jusqu’à lui faire mal. Tisha laissa alors échapper ses pièces, qui roulèrent sur le sol.

    — Oh ! De l’argent ! Où l’as-tu pris, voleuse ?

    Avant que Tisha ne puisse s’expliquer, la dame la secoua sans ménagement. Puis, lorsque enfin elle la lâcha, ce fut pour ramasser les pièces, qu’elle enfouit dans sa poche.

    Cette nuit-là, Tisha ne trouva pas le sommeil. Doucement, elle se faufila dans l’obscurité du jardin. Sur la branche d’un oranger, deux étoiles brillaient. La fillette s’approcha. C’étaient les yeux du chaton. Soudain, dans la grande maison, quelqu’un cria :

    — Tisha ! Tisha ! Où es-tu ? D’un bond, le chaton fila.

    Sans réfléchir, Tisha le suivit... et se retrouva dans la rue.

    Elle n’avait rien, ni nulle part où aller. Mais tant pis ! Tisha s’était enfuie.

    La fillette ne connaissait rien dans la ville, sauf le marché. C’est donc là qu’ele alla.

    La place semblait vide. Pourtant, près d’une porte ou contre un arbre, quelques personnes dormaient. Tisha retrouva l’emplacement de « sa » marchande. Là, elle se blottit dans un carton et, épuisée, s’endormit.

    Le lendemain, il faisait encore sombre lorsqu’une main se posa sur son épaule :

    — Que fais-tu là ?

    Tisha sursauta, cligna des yeux et, en un instant, l’histoire de la veille lui revint à l’esprit. Face à elle se tenait la marchande, qui la regardait avec étonnement. Tisha vit alors les marques sur son bras, à l’endroit où la dame l’avait serré fort. Elle eut honte. Mais la marchande lui sourit en lui tendant un beignet :

    — Tiens ! Il est frais...

    Puis, comme si elle savait tout :

    — Personne n’a le droit de te traiter ainsi. Tu as raison de ne pas l’accepter. Écoute-moi : je vais parler de toi à l’une de mes clientes. Elle s’occupe d’enfants dans ta situation.

    Le cœur de Tisha se serra. Et si la cliente était comme Tata Zana ?

    — Ne t’inquiète pas, continua la marchande. Son travail est de rendre les enfants à leurs parents. Elle s’appelle M’ma Yele. En l’attendant, aide-moi à garnir mon étal.

    M’ma Yele arriva en fin de matinée. Elle portait des paniers assez nombreux et assez grands pour y faire disparaître tous les légumes qui restaient sur l’étal de la marchande :

    — C’est qu’ils dévorent, ces enfants, expliqua-t-elle en riant. Mon potager ne suffit pas à leur remplir l’estomac.

    La marchande lui présenta Tisha.

    — Où est ton village ? lui demanda M’ma Yele.

    — Près du désert, répondit la fillette. M’ma Yele sourit :

    — Le désert est vaste. Dis-moi au moins dans quelle direction aller.

    Tisha n’en avait aucune idée. Avant de suivre Tata Zana, jamais elle n’avait quitté son village. Comme Mamala et la plupart des villageois.

    — Je vais chercher, promit M’ma Yele. Je vais essayer de retrouver ta famille. Et ton vilage.

    CHAPITRE 5

    M’ma Yele emmena Tisha dans une grande case claire. D’autres enfants vivaient là. À l’arrivée de la fillette, ils dansèrent et chantèrent :

    — Bonne arrivée, Tisha ! Juste à côté, dans un enclos, un troupeau de chevrettes regardait la nouvelle avec curiosité.

    Ici, on mangeait à sa faim ; la vie était calme et gaie.

    Pourtant, Tisha ne voulait pas rester. Sa seule envie était de retrouver Mamala. Mais elle n’avait pas le choix. Il lui fallait attendre et faire comme les autres enfants : chaque jour, aller à l’école, aider M’ma Yele à la cuisine ou au potager, apprendre à s’occuper des chèvres.

    Petit à petit, Tisha se fit des amis. Elle apprit des chansons et rit sans pouvoir s’arrêter, comme au village parfois. Cependant, le plus souvent possible, Tisha glissait sa main dans celle de M’ma Yele et chuchotait : — As-tu retrouvé mon village ? As-tu vu ma maman ?

    Et chaque fois M’ma Yele répondait :

    — Patience, Tisha, patience...

    Alors, Tisha sentait les larmes monter. Pour ne pas les montrer, elle filait dans l’enclos des chèvres. Tisha aimait cet endroit. Et surtout cette chevrette noire qui venait lui lécher les mains. C’était sa préférée.

    Lorsque cette petite chèvre était née, sa mère n’avait pas pu l’allaiter. Tisha lui avait donc donné à téter, jusqu’à ce que la chevrette puisse brouter.

    Un matin, M’ma Yele vint garer sa camionnette près de l’enclos. Tout sourire, elle attrapa un jeune bouc et la chevrette noire avant de les enfermer dans le véhicule.

    Tisha s’inquiéta :

    — Où emmènes-tu ma chèvre ?

    — Chez toi, répondit M’ma Yele. Veux-tu l’accompagner ?

    Lorsque Mamala vit la camionnette apparaître au bout du chemin, elle courut au-devant. Depuis des semaines, à chaque fois que la poussière du chemin s’envolait, le cœur de Mamala s’emballait et elle se précipitait. Mais à chaque fois elle revenait déçue. Tellement déçue. Ce n’était pas Tisha. Pourtant Mamala ne se décourageait pas.

    Après la fuite de Tisha, Tata Zana était revenue voir Mamala. Elle lui avait dit : « Ta fille est une ingrate. Elle vivait comme une princesse à la ville... »

    Depuis, Mamala guettait le retour de Tisha. Elle était sûre que sa fille avait eu une raison de s’enfuir. Et que, bientôt, elles se retrouveraient. Et ce jour, enfin, arriva. Lorsque Tisha jaillit de la camionnette, elle et Mamala se serrèrent si fort et si longtemps que M’ma Yele crut que ça n’en finirait jamais.

    Seule la chevrette noire réussit à les séparer. En donnant de petits coups de corne à Tisha, comme pour lui demander :

    — Où est-ce qu’on est ?

    Dans le petit village, tout près du grand désert, la pluie n’est toujours pas tombée. Mais des chevreaux sont nés depuis le retour de Tisha. Les chèvres se contentent des herbes sèches qu’elles trouvent ici et là. Leur lait apaise la faim des villageois. Mamala prend soin du troupeau, pendant que Tisha va à l’école.

    Les chevreaux grandissent. Et, avec eux, grandit l’espoir.

    Quitterie Simon

    Pas d’école pour Tisha

    Toulouse, 2010

    -HISTOIRE A FAIRE RÊVER ....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

     La saucisse du Nioufi
    Le Nioufi, commande six saucisses à la boucherie, et il demande au commis comment on la prépare.
    - De la même façon que le poisson.
    Avant de sortir, il demande à la caissière, comment on fait cuire la saucisse.
    - Comme le poisson. Simple.
    - Merci. Merci beaucoup.
    Une fois à la maison, notre Nioufi met un peu d'huile dans la poêle et la fait chauffer à feu doux pendant qu'il vide les saucisses.

    -HISTOIRE A FAIRE RÊVER ....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

    Mafiosi
    Lors d'une réunion de la petite mafia de Montréal le parrain du groupe s'adresse à Tony un jeune blanc bec Italien.
    Le patrone lui dit :
    -Tony, va à la toilette et mastourbe toi !
    Tony surpris quitte la salle, s'exécute et reviens après 10 minutes.
    Quelques minutes plus tard le patrone lui dit encore une fois :
    -Tony, va à la toilette et mastourbe toi une autre fois !
    Tony était découragé mais ne pouvait discuter. Alors il s'exécute encore une fois et reviens cette fois après 30 minutes. L'air confus et le moral amoché il dit:
    -Patrone, yé mé suis mastourbé encore une fois.
    -C'est bien Tony, assois-toi maintenant.
    Une demi-heure passe et le patrone s'adresse à Tony et lui dit encore :
    -Tony, à la toilette et mastourbe toi.
    Tony voulait discuter mais le patrone fais les gros yeux. Il file aux toilettes. Après 2 minutes il revient et s'adresse au patrone:
    -Yé peut pas mé mastourbé patrone yé peut plus bandé.
    -Tu es sour ?
    -Si, si.
    -Alors, maintenant tu peux aller recondouire ma fille.

    -HISTOIRE A FAIRE RÊVER ....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

    -HISTOIRE A FAIRE RÊVER ....ET L'HUMOUR DU JOUR.....


    5 commentaires
  • -REPRISE PARTIELLE DE MON BLOG......

    Bonjour à toutes et tous !

    A partir de cette semaine entre deux billets de santé je vais essayer de réanimer mon blog avec un article de temps en temps, bien sûr en le reprenant avec le même état d'esprit, de la rigolade en priorité.

    -REPRISE PARTIELLE DE MON BLOG......

    Sous la rubrique :

    Des blagues

    Un père mafioso s'adresse à ses trois fils:
    -Hey Gino, comment ça fait quatre plus quatre?
    - Ça fait sept papa, sept.
    - C'est bien Gino c'est bien.
    Tino entre et le père lui redemande la même question:
    Ça fait neuf papa, ça fait neuf.
    Finalement le troisième fils Luigi entre dans la salle, et le père lui redemande la même question, et Luigi de répondre :
    - Ça fait huit papa, ça fait huit.
    À ce moment le père se lève et lui administre une épouvantable correction. Les deux autres fils effrayés demandent à leur père pour qu'elle raison il avait fait cela?
    - Il en savait trop. Ici, c'est la loi du silence. On ne dit rien. Et surtout jamais la vérité.

    Sous la rubrique:

    Images ou histoires coquines

    Et bien sûr la rubrique pour lui et pour elle !

    -REPRISE PARTIELLE DE MON BLOG......

    Bonne semaine

    Amitiés

    Bisous

     


    13 commentaires
  • Bonjour à toutes et tous.....

    Je viens d'avoir un appel de la radiothérapeute qui me confirme qu'après le scanner de centrage de mardi la radiothérapie pourra avoir lieu, j'ai donc rendez-vous vendredi 4 mars pour la mise en place et démarrer les rayons dès le 8 mars, il n'y aura pas de chimio pendant cette période. J'ai donc huit jours de répit supplémentaires avant de subir des tirs de rayons laser, il n'y aura plus de chimio pendant cette période.

    Oui il est temps de commencer la deuxième partie de mon traitement, la radiothérapie. C'est un traitement local qui a pour but de détruire les cellules cancéreuses à l'aide d'une machine appelée accélérateur linéaire de particules. Cette machine émet des rayons ciblés sur la région du corps à traiter. Le traitement comprend une séance de quelques minutes chaque jour, pendant 5 jours successifs et ce pendant 6 semaines, assis face à cette porte...

    .....je dois attendre mon tour pour entrer...je sais que je vais avoir à le faire à 30 reprises.

    Merci à vous tous pour votre fidélité et vos commentaires de soutien.

    Amitiés

    Bisous

    Un peu d'humour !

    SUITE APRES LA CHIMIO....


    16 commentaires
  • Bonjour à toutes et tous, comme je vous l'ai indiqué dans mon dernier billet de santé "CHIMIO 4" j'ai été dirigé vers un radiothérapeute à l'institut de cancérologie de Seine -et -marne (ICSM) pour savoir si une radiothérapie est possible compte tenu que la tumeur est mal placée. Il semblerait que oui après consultation et étude de mon dossier médical, ceci devra m'être confirmé jeudi prochain après un scanner de simulation que je dois passer mardi. Cette dernière chimio ne m'a pas trop donné d'effets secondaires, reste que la fatigue qui me permet de bien dormir et de me faire un peu de lard, car depuis mon poids le plus bas au début de la maladie j'ai repris 6 kilos, à cette allure les bouées vont vite revenir (rire)

    CHIMIO 4 suite.....

    Merci à toutes celles et ceux qui suivent régulièrement mes billets, merci également pour vos commentaires toujours pleins de mots réconfortants.        Je ne manquerai pas de vous donner d'autres news.

    Amitiés

    Bisous

    CHIMIO 4 suite.....


    22 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique