• PETIT TEST D'INTELLIGENCE....ET L'HUMOUR DU JOUR

    -PETIT TEST D'INTELLIGENCE....ET L'HUMOUR DU JOUR....

                       Un test d'intelligence

    Chers ami(e)s, voyons voir quel est votre niveau intellectuel avec un petit test très simple comprenant quatre questions.

    Il faut y répondre instantanément, pas de réflexion, il faut répondre immédiatement : GO !

    1: Tu participes à une course à pieds, tu doubles le second.
    En quelle position arriveras-tu ?

    PETIT TEST D'INTELLIGENCE....ET L'HUMOUR DU JOUR



    PETIT TEST D'INTELLIGENCE....ET L'HUMOUR DU JOUR



    PETIT TEST D'INTELLIGENCE....ET L'HUMOUR DU JOUR



    PETIT TEST D'INTELLIGENCE....ET L'HUMOUR DU JOUR


    Réponse:
    Si tu as répondu que tu arrives le premier, c'est totalement faux.Tu as doublé le second et tu as pris sa place, donc tu arrives second.

    Au fait pour la deuxième question essaye de réfléchir un peu moins longtemps ;-)

    2: Si tu doubles le dernier, en quelle position arrives-tu ?

    PETIT TEST D'INTELLIGENCE....ET L'HUMOUR DU JOUR



    PETIT TEST D'INTELLIGENCE....ET L'HUMOUR DU JOUR



    PETIT TEST D'INTELLIGENCE....ET L'HUMOUR DU JOUR



    PETIT TEST D'INTELLIGENCE....ET L'HUMOUR DU JOUR


    Réponse:
    Si tu as répondu avant-dernier, tu t'es trompé à nouveau.
    Réfléchis un peu... Comment peux-tu doubler le dernier ?
    Si tu es derrière lui, il n'est pas le dernier. La question est impossible !! On dirait que ce n'est pas ton fort de réfléchir.

    Allez, on en essaye une autre, ne prends pas de notes ni de calculatrice et rappelle toi qu'il faut répondre du tac-au-tac.

    Allez, courage!!!!
    Prends 1000. Ajoute 40.
    Ajoute encore 1000.
    Ajoute 30.
    Encore 1000.
    Plus 20.
    Plus 1000.
    Et plus 10.
    Quel est le total ?

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    Réponse: 5000 c'est bien ça ?

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    Ben non !
    La bonne réponse est 4100. Refais-le avec une bonne calculatrice... Ce n'est pas un bon jour pour toi !!!

    La dernière devrait être la bonne,
    Le père de Marise a cinq filles:

    1. Chacha

    2. Cheche

    3. Chichi

    4. ???????

    5. Chuchu

    Question: Quel est le nom de la quatrième ?

    Réfléchis vite... Et la réponse est plus bas...

     

    PETIT TEST D'INTELLIGENCE....ET L'HUMOUR DU JOUR



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    PETIT TEST D'INTELLIGENCE....ET L'HUMOUR DU JOUR



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    Marise !

    PETIT TEST D'INTELLIGENCE....ET L'HUMOUR DU JOUR

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    Le baiser par Raymond Devos !!!!
    Pour donner un nom hors du commun à mon chien, je l'ai nommé Baiser (comme pour un baiser mignon). Ce fut une erreur, mais je ne l'ai remarqué que plus tard.

    1°) Lorsque après mon déménagement je me suis rendu à la municipalité pour le faire enregistrer, je dis au percepteur que je venais payer la taxe pour Baiser. Il me répondit qu'il n'y avait pas encore de taxe à payer pour cela.  « Mais il s'agit d'un chien », lui répondis-je. Il me répliqua que les relations sexuelles avec les animaux sont interdites par la loi, mais que malgré cela, il n'y avait pas de taxe à payer.
    « Vous ne comprenez pas, lui dis-je, j'ai Baiser depuis que j'ai neuf ans »... Il me jeta dehors.

    2°) Pendant notre voyage de noces, le chien nous avait accompagnés. Comme je ne voulais pas qu'il nous dérange, je demandais à la réception de l'hôtel une chambre supplémentaire pour Baiser. La dame de service me répondit que toutes les chambres de l'hôtel étaient équipées à cet effet. « Vous ne comprenez pas , lui dis-je, « Baiser m' empêche de dormir toute la nuit ». Mais elle me répondit qu’ 'elle aussi, ça l' empêchait de dormir.

    3°) Une fois, je me rendis à un concours de beauté pour chiens, je voulais y présenter Baiser. Un gars à l' entrée me demanda la raison de ma présence au concours. Je lui répondis que j' étais ici pour Baiser. Il me suggéra de faire imprimer mes cartes d'entrées privées et de les vendre. Lorsque je lui demandais si le concours était télévisé, il me traita de pervers.

    4°) Un jour, Baiser tomba malade et je dus le conduire chez le vétérinaire. Le lendemain, j'allai le reprendre. « Lequel est-ce, me demanda la demoiselle en feuilletant dans ses cartes d' admission, Milou, Médor..ou Paf ? » « Que diriez-vous de Baiser », lui répondis-je, et je reçus une gifle.

    5°) Le même jour, Baiser s'échappa et je le cherchais partout. Je me rendis au refuge pour animaux pour le chercher. « Que voulez-vous ?... » me demanda le gardien.
    « Baiser » lui répondis-je. Il était d' avis que ce n' était pas le bon endroit pour baiser.  

    6°) Je cherchais toute la nuit. Vers 4 heures, un agent de police me demanda ce que je voulais en pleine nuit dans ce quartier chic, lorsque je lui répondis que je voulais seulement Baiser et rien d'autre, il m'embarqua.

    7°) Lors du divorce, ma femme et moi devions nous présenter devant le juge pour le partage des biens. Naturellement, je voulais à tout prix garder mon chien, je ne voulais pas le lui laisser : « Votre Honneur,   j'avais déjà Baiser avant le mariage ».Il répondit simplement: Et alors ? Moi aussi !

    PETIT TEST D'INTELLIGENCE....ET L'HUMOUR DU JOUR

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  • BON WEEKEND DE PÂQUES.....

    Bonjour à toutes et tous, je viens déjà vous donner un peu de nouvelle de ma santé qui ma foi ne va pas trop mal, je viens de terminer ma troisième semaine de radiothérapie, soit la moitié des séances prescrites, la fatigue reste le point fort, seule depuis hier une sensation de brûlure au niveau de l'œsophage, ce qui là encore fait partie des effets secondaires, j'ai également quelques maux de tête persistants malgré une prise de 2 g d'antalgique chaque jour, ce qui me vaut de passer un IRM cérébral prochainement.Voilà ce que je peux vous dire pour l'instant, je ne manquerai pas de vous donner d'autres nouvelles prochainement, en attendant, merci pour votre fidélité, nous vous souhaitons à toutes et tous de.............

    BON WEEKEND DE PÂQUES.....

    BON WEEKEND DE PÂQUES.....Quelques jours avant la Pâques juive, un rabbin rentre chez lui lorsqu'il se rend compte qu'un de ses fidèles marche juste devant lui sur le trottoir. Le rabbin hâte alors le pas pour le rattraper et lui dire bonjour, mais à son grand désarroi, il s'aperçoit alors que ce fidèle rentre dans un restaurant chinois.
    Le rabbin n'en croit pas ses yeux! Il se poste devant la vitrine et continue à s'étonner lorsque le gars commande et ensuite ingère des crevettes au Curry suivies de Porc à la cantonaise !
    Le rabbin est tellement hors de lui qu'il entre dans le restaurant et interpelle la brebis égarée :
    - Moshé! Qu'est-ce que tu fais ?!
    Moshé se tourne vers son rabbin et lui demande :
    - Qu'y a-t-il? Je ne comprends pas...
    Le rabbin :
    - Enfin Moshé, j'ai vu ça que tu as fait toi Moshé, toi que je vois toujours à la synagogue, toi qui es le plus fort en théologie !
    Alors Moshé lui répond :
    - Rabbi, est-ce que vous m'avez vu rentrer dans ce restaurant ?
    - Oui
    - Est-ce que vous m'avez vu commander un repas ?
    - Oui
    - Est-ce que vous m'avez vu manger ce repas ?
    - Bien sûr que je t'ai vu manger ce repas ! Pourquoi crois-tu que j'ai fait irruption ici ?!
    - Dans ce cas rabbi, je ne vois pas où est le problème : tout a été fait sous la supervision d'un rabbin !

    BON WEEKEND DE PÂQUES.....

    BON WEEKEND DE PÂQUES.....

    BON WEEKEND DE PÂQUES.....

    BON WEEKEND DE PÂQUES.....

    BON WEEKEND DE PÂQUES.....


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  • Nous les baby-boomers, on a connu les plus grandes inventions du monde, comme la télévision, le téléphone etc...
    Et puis l'ère de l'informatique est arrivée et l'Internet.
    Maintenant ce sont les cellulaires et les tablettes
    avec lesquelles ont doit s'adapter.
    On se doit d'être fier, car on a su s'adapter à tous ces changements.
    Voici un petit retour en arrière pour voir les évolutions du temps.

    Il y a plus de 100 ans déjà !

    L'année 1910, c'était il y a plus de cent ans.

    Quelle différence et quelle évolution en un siècle !



    Automobile de 1910 Ford Modèle R

    Le carburant pour cette voiture était vendu seulement dans les pharmacies.  


    Voici quelques statistiques pour l'année 1910

    L'espérance de vie moyenne des hommes était de 47 ans,
    et celle des femmes, 51 ans.

    Seulement 14 % des maisons avaient une baignoire.

    Seulement 8 % des foyers avaient un téléphone.

    Il n'y avait que 8,000 voitures, et seulement 144 milles de routes pavées.

    La limite de vitesse dans la plupart des villes était de 15 km/h.

    La plus haute structure du monde était la Tour Eiffel !

    MÉDECINS & MALADIES

    Plus de 95 % de toutes les naissances avaient lieu à domicile.

    90% de tous les médecins n'avaient pas de formation Collégiale !

    Au lieu de cela, ils ont appris à ce qu'on appelait
    dans les écoles de médecine,
    dont un grand nombre a été condamné
    dans la presse et par le gouvernement,
    comme étant des formations «inférieures».

    Les cinq principales causes de décès étaient les suivantes:
    1. La pneumonie et la grippe
    2. La tuberculose
    3. La diarrhée
    4. Les maladies du cœur
    5. Autres Maladies
     

    Nourriture

    Le sucre coûtait 4 centimes la livre.
    Les œufs étaient 14 centimes la douzaine.
    Le café était 15 centimes la livre.
    La plupart des femmes ne se lavaient les cheveux qu'une fois par mois,
    et utilisaient les jaunes d’œuf ou le borax comme shampooing.

    Les mots croisés, la bière en boîte,
    et le thé glacé n'avaient pas encore été inventés.

    Le 8 mars 1910,
    une confédération internationale de femmes socialistes,
    réunie à Copenhague, instaure : «La Journée de la Femme».

    Mode Féminine



    Les dessous de la Belle Époque mettent à l'honneur
    la dentelle, les rubans, et représentent un peu l'âge d'or du frou-frou...

    La femme revêt, dans l'ordre, :
    une longue chemise (en coton, en batiste, ou autre),
    par-dessus laquelle elle lace son corset,
    qui n'est jamais placé à même la peau, ce qui le salirait trop vite.
    Ceci obligerait à des lavages et un rachat trop fréquents.
    Puis, elle met, souvent, un cache-corset brodé
    des pantalons au bas de dentelle,
    une tournure (descendante de la crinoline),
    un ou des jupons, et, enfin, sa robe.



    Souffrir pour être belle !
     

    100 ans de mode pour femmes

    Un voyage dans le monde de la mode

    pour les femmes de 1915 à aujourd'hui !

    Que sera le futur dans un autre 100 ans ?
    Bof ! on ne sera plus là pour le savoir !

    La maison de retraite
    Dans une maison de retraite qui reçoit des couples, trois amis, autour de 85 ans d'âge, parlent de leurs problèmes de santé.
    Le premier explique aux autres qu'il a des douleurs très fortes dans les épaules et qu'il peut à peine lever les bras lorsqu’il s'agit de prendre quelque chose, en hauteur, dans un placard ou une armoire.
    Le deuxième dit que lui, ce sont ses jambes. Il peut à peine marcher, malgré ses deux cannes, c'est une épreuve pour aller au village.
    Le troisième dit :
    - Moi, les gars c'est pas ça. Ce matin à 9h. on était encore couchés et j'ai dit à Marie
    - Viens qu'on se fasse un gros câlin...
    - Tu n'y penses pas, on a déjà fait ça il y a une heure qu'elle m'a répondu !
    - Moi, voyez vous les gars, dit-il en se touchant le front, c'est la mémoire, je perd la mémoire..."

    Mémoire
    C'est un vieux couple dont la mémoire défaille. Ils suivent des cours de stimulation de la mémoire. Ils trouvent ce cours formidable et en parlent à leurs amis et voisins.
    Si bien qu'un jour, le voisin interpelle le vieux monsieur en train de tondre sa pelouse et lui demande :
    - Dites-moi, quel était le nom de votre moniteur pour ces exercices sur la mémoire ?
    Le vieux répond :
    - Eh bien, c'était...Hmmm...laissez moi une minute... Quel est le nom de cette fleur, vous savez, celle qui sent si bon mais a des épines sur ses tiges...?
    Le voisin :
    - Une rose ?
    Le vieux :
    - Oui c'est ça...(criant en direction de la maison) Hé, Rose, quel était le nom de notre moniteur pour les cours sur la mémoire ?


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  • Le monde selon M. Washington

    Un jour de dernière année du secondaire, j’entrai dans une classe pour attendre un de mes amis. Je venais de franchir la porte lorsque le titulaire de la classe, M. Washington, apparut soudainement et me demanda d’aller au tableau pour écrire quelque chose, pour faire un problème. Je répondis que j’en étais incapable. Il rétorqua : « Et pourquoi donc ? »

    « Parce que je ne suis pas un de vos élèves », dis-je.

    Il dit : « Cela n’a pas d’importance. Allez quand même au tableau. »

    Je répondis de nouveau : « Je ne peux pas. »

    Il répéta : « Et pourquoi donc ? »

    Embarrassé, je restai un moment silencieux.

    Puis j’avouai : « Parce que je suis un déficient mental léger. »

    Il contourna son bureau, s’avança vers moi, me regarda et dit : « Ne redites jamais cela. Vous n’êtes pas obligé de croire ce que les autres pensent de vous. »

    Ce fut un instant très libérateur pour moi. À l’école, les moqueries des autres élèves m’humiliaient, car ils savaient tous que j’étais dans une classe adaptée. Puis voilà que M. Washington me libérait du carcan de l’opinion des autres en me faisant remarquer que je n’avais pas besoin de m’y assujettir.

    C’est ainsi que M. Washington est devenu mon conseiller. Avant de le rencontrer, j’avais redoublé à deux reprises. Au début de ma dernière année au primaire, on m’avait étiqueté « déficient mental léger » et on m’avait redescendu dans la classe inférieure. J’avais également échoué ma première année du secondaire.

    M. Washington marqua profondément ma vie. Je me dis aujourd’hui qu’il agissait dans l’esprit de ces paroles de Goethe : « Traitez quelqu’un tel qu’il est, et il ne fera qu’empirer. Traitez-le tel qu’il pourrait être, et il deviendra tel qu’il devrait être. »

    M. Washington avait aussi fait sienne cette maxime de Calvin Lloyd : « On ne s’élève pas en deçà de ses espérances. » Il donnait toujours à ses élèves l’impression qu’il avait de grandes espérances pour eux ; et nous, ses élèves, nous nous efforcions d’être à la hauteur de ses attentes.

    J’étais encore un élève de premier cycle à l’école secondaire lorsque je l’entendis un jour prononcer un discours devant des élèves qui allaient obtenir leur diplôme d’études secondaires. Il disait : «Nous avez tous en vous la grandeur, quelque chose d’exceptionnel. Si seulement l’un de vous peut entrevoir sa pleine mesure, ce qu’il est véritablement, ce qu’il a d’unique, ce qu’il peut apporter au monde, alors d’un point de vue historique, l’humanité ne sera plus jamais la même. Vos parents, votre école, votre milieu, tous seront fiers de vous. Vous pouvez toucher la vie de millions de gens. »

    M. Washington s’adressait à des finissants, mais j’eus l’impression que c’est à moi qu’il parlait.

    Je me rappelle l’ovation que les finissants firent à M. Washington. Après son discours, je le rattrapai dans le stationnement et lui dit : « M. Washington, vous souvenez-vous de moi ? J’étais dans la salle pendant votre discours aux élèves de dernière année. »

    « Que faisiez-vous là ? Si je ne m’abuse, vous êtes encore au premier cycle ? », répondit-il.

    « Je sais, Monsieur. Votre discours m’est parvenu à travers les portes de l’auditorium et je suis entré, car j’ai senti que c’est à moi qu’il s’adressait. Vous disiez que chacun avait en lui la grandeur. Je l’ai entendu. Est-ce que j’ai la grandeur en moi, Monsieur ? »

    « Oui ! », dit-il.

    « Alors, comment se fait-il que j’ai échoué en anglais, en maths et en histoire, et que je dois suivre des cours d’été ? Comment se fait-il, Monsieur ? Je suis plus lent que les autres. Je ne suis pas aussi intelligent que mon frère ou ma sœur qui va étudier à l’université de Miami. »

    « Cela n’a pas d’importance. Cela signifie uniquement que tu dois redoubler d’ardeur. Ce ne sont pas tes résultats scolaires qui déterminent ce que tu es et ce que tu peux faire dans la vie. »

    « J’aimerais offrir une maison à ma mère. »

    « C’est une chose possible. Tu en es capable. »

    Et il se retourna pour continuer son chemin.

    « M. Washington ? »

    « Qu’est-ce qu’il y a encore ? »

    « Euh !... je suis celui dont vous parliez tout à l’heure, Monsieur. Souvenez-vous de moi, n’oubliez pas mon nom. Un jour, vous l’entendrez de nouveau. Je suis celui dont vous serez fier un jour, Monsieur. »

    L’école avait été jusque-là une lutte de tous les instants. Je montais d’une classe chaque année parce que je n’étais pas un vilain garnement. J’étais plutôt gentil garçon. J’amusais, je faisais rire les autres. J’étais poli et respectueux. Les enseignants m’accordaient donc les notes de passage, ce qui ne m’aidait guère. Puis, il y eut M. Washington qui m’imposa ses exigences. Il m’apprit à être responsable de mes actes, et c’est ainsi que je commençai à croire que j’étais capable, que je pouvais réussir.

    Pendant ma dernière année à l’école secondaire, M. Washington me prit sous son aile, même si j’étais encore en classe adaptée. En temps normal, les élèves des classes adaptées ne suivent pas le cours d’art dramatique, mais on fit exception pour moi.

    Le directeur de l’école se rendit compte du lien qui s’était noué et de l’influence que M. Washington exerçait sur moi, car mes résultats scolaires étaient meilleurs. Pour la première fois de ma vie, mon nom figura au tableau d’honneur. C’était un véritable miracle, puisque je voulais aller en voyage d’études avec le département d’art dramatique et qu’il fallait figurer au tableau d’honneur pour y participer !

    M. Washington transforma de fond en comble ma perception de moi-même. Il me révéla ma pleine mesure, celle qui dépassait mon conditionnement mental et les circonstances de ma vie.

    Des années plus tard, devenu producteur d’une série de cinq émissions spéciales diffusées sur un réseau de télévision publique, je demandai à des amis de téléphoner à M. Washington dans le cadre de mon émission « Gens de mérite ».

    J’étais assis près du téléphone à attendre son appel lorsqu’il me téléphona de Detroit.

    Il dit : « Puis-je parler à M. Brown, s’il vous plaît ? »

    « Qui est à l’appareil ? »

    « Vous le savez très bien. »

    « Ah ! C’est vous, M. Washington. »

    « Vous étiez bel et bien celui dont je parlais, n’est-ce pas ? »

    « Oui, Monsieur, celui-là même. »

    Les Brown 

    -HISTOIRES A FAIRE RÊVER.....ET L'HUMOUR DU JOUR

    Permis de conduire
    Un ado rentre chez lui après l'examen pour l'obtention de son permis de conduire. Son père la questionne:
    - Alors? ça s'est bien passé ?
    - Je n'en sais rien.
    - Comment ça! L'examinateur ne t'a rien dit ?
    - Non. On l'a transporté directement à l'hôpital.

    Au zoo de Granby.
    - Madame ! Madame ! Votre mari vient de tomber dans la fosse des crocodiles.
    - Alors ! C'est pas mon problème, ce sont VOS crocrodiles !

    En classe...
    - Pourquoi Adam et Ève étaient le couple le plus heureux du monde ?
    Albert lève la main...
    - Oui, tu connais la réponse?
    - Ouais, ils n'avaient ni l'un ni l'autre de belle-mère.
     

    St valentin
    Au moment où elle se réveille, une femme dit à son mari
    -Chéri, j'ai rêvé que tu m'offrais un collier de perles pour la Saint Valentin. À ton avis, qu'est-ce que ça peut vouloir dire ?
    -Tu le sauras ce soir, répond le mari avec un petit sourire.
    Ce soir là, Guy-Marie rentre à la maison avec un petit paquet cadeau, et une bouteille de champagne. Sa femme, ravie, commence à le déballer...
    Et qu'est-ce qu'elle découvre ?
    Un livre !!!!!!!!!!
    L’INTERPRÉTATION DES RÊVES

    -HISTOIRES A FAIRE RÊVER.....ET L'HUMOUR DU JOUR

    -HISTOIRES A FAIRE RÊVER.....ET L'HUMOUR DU JOUR

    -HISTOIRES A FAIRE RÊVER.....ET L'HUMOUR DU JOUR

    -HISTOIRES A FAIRE RÊVER.....ET L'HUMOUR DU JOUR

     


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  • Bonjour à toutes et tous....

    Donc depuis lundi j'ai commencé mes séances de radiothérapie, pour l'instant je ne ressens aucun effet secondaire si ce n'est que comme lors de la chimiothérapie un peu de fatigue ce qui semble être normal car les déplacements quotidiens, l'attente lors des rendez-vous et le traitement lui-même peuvent provoquer une fatigue physique ou même morale. Je vous rassure, côté morale je tiens bon !

    Pour info et pour celles et ceux qui ne sont pas venu depuis mon dernier billet de santé, j'ai repris une petite activité sur mon blog comme le montrent les trois derniers articles et le quatrième qui suit.

    Bonne fin de semaine

    Bisous

    - RECYCLAGE.....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

    XXXX RECYCLAGE

    Une idée astucieuse

    Une idée innovatrice !

    Réutiliser les Bouchons des bouteilles de Plastique !!!

    Voici comment sceller un sac de plastique pratiquement sous-vide !
    Découper une bouteille d'eau en gardant le cou de la bouteille

    comme sur la photo.

    Insérez le sac en plastique à-travers le cou et refermer

    le bouchon par-dessus.

    C'est une bonne idée à partager à tous et excellente

    pour l'environnement !!!

    -19-09- RECYCLAGE.....ET L'HUMOUR DU JOUR

    Un vieux monsieur fréquente le même club du troisième âge qu'une veuve qu'il aime secrètement.
    Un jour, prenant son courage à deux mains, il la demande en mariage et elle accepte avec enthousiasme.
    Le lendemain le vieux monsieur lui téléphone :
    "Ce que je vais vous dire est un peu embarrassant, mais hier je vous ai demandé en mariage et je ne me souviens pas si vous m'avez répondu oui ou non ?"
    "Oh ! comme je suis contente que vous m'appeliez, je me souviens d'avoir dit oui, mais je ne savais plus à qui."

    La bosse des affaires
    Le journaliste rencontre un entrepreneur qui est devenu immensément riche...
    - Quel est le secret de votre réussite ?
    - Simple. Il faut avoir la conviction que l'argent n'a pas d'importance et que le travail acharné est la source du succès. Le travail, c'est la seule chose qui compte.
    - C'est comme ça que vous êtes devenu riche.
    - Oui. Quand j'ai réussi à mettre ça dans la tête de mon personnel.

    - RECYCLAGE.....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

    - RECYCLAGE.....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

    - RECYCLAGE.....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

    - RECYCLAGE.....ET L'HUMOUR DU JOUR.....


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  • -22-09-DEUX AMIS PAS STRESSES DU TOUT !.....ET L'HUMOUR DU JOUR

    Amitié spéciale adorable

    Une amitié d'animaux adorable.

    Bubbles l'éléphant d'Afrique et Bella le labrador noir, deux résidents de la Myrtle Beach en Caroline du Sud Safari ,sont devenus des meilleurs amis. Bubbles a été sauvé en Afrique après que ses parents étaient tous deux trouvés tués par des braconniers pour leur ivoire. Bubbles lance la balle avec sa trompe pendant que Bella saute de la tête de Bella ou du dos et nage à récupérer la balle.

    -22-09-DEUX AMIS PAS STRESSES DU TOUT !.....ET L'HUMOUR DU JOUR

    Les vieux jours de Cendrillon
    Cendrillon a 75 ans. Après une vie heureuse avec son mari, le prince maintenant décédé, elle passe ses journées sur son perron dans une chaise berçante à observer le monde avec son chat Bob sur ses genoux.
    Elle est heureuse.
    Par un bel après-midi, dans un nuage, apparait soudain sa marraine, la bonne fée.
    - Cendrillon, tu as vécu une vie exemplaire. Que puis-je faire pour toi ? Tiens, que dirais-tu de trois souhaits que je pourrais t'exaucer ?
    Cendrillon est surprise, joyeuse et rouge de confusion. Après y avoir réfléchi, elle murmure:
    - J'aimerais être immensément riche.
    À l'instant même, sa chaise berçante se change en or massif. Cendrillon est abasourdie et elle s'écrie: «Oh ! Marraine, Merci»!
    - J'aimerais être belle et jeune à nouveau.
    Instantanément, elle retrouve sa beauté d'antan. Cendrillon ressent en elle des sentiments qu'elle n'a pas ressenti depuis longtemps, des élans oubliés, des ardeurs...
    Et comme dernier souhait ?
    - Je veux que tu transformes mon chat Bob en un beau et gentil jeune homme.
    Pfiou ! Bob est transformé en un magnifique spécimen mâle d'une beauté inouïe.
    - Maintenant Cendrillon ! Amuses toi bien dans ta nouvelle vie. Au revoir !
    Bob et Cendrillon se regardent tendrement. Cendrillon est hypnotisée à la vue du plus bel homme qu'elle n'aie jamais vu. Puis Bob s'avance langoureusement vers elle, la prend dans ses bras musclés et lui murmure à l'oreille. Pourquoi tu m'as fait castrer, p'tite idiote.

    -DEUX AMIS PAS STRESSES DU TOUT !.....ET L'HUMOUR DU JOUR......

    -22-09-DEUX AMIS PAS STRESSES DU TOUT !.....ET L'HUMOUR DU JOUR

    -DEUX AMIS PAS STRESSES DU TOUT !.....ET L'HUMOUR DU JOUR......

    -22-09-DEUX AMIS PAS STRESSES DU TOUT !.....ET L'HUMOUR DU JOUR

    -DEUX AMIS PAS STRESSES DU TOUT !.....ET L'HUMOUR DU JOUR......


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  • -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    Entendre que l'on nous aime.
    " Les vrais ami(e)s viennent dans les bons moments quand on les appelle et dans les mauvais... ils viennent d'eux même.

     

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    POURQUOI CHOISIR D'ÊTRE INCINÉRÉ ???

    Au départ, Nous sommes créés d'une « étincelle » d'amour.

    La première année, Nous sommes la « flamme » de nos parents.

    On se fait ensuite « chauffer » les fesses jusqu'à notre adolescence.

    Suit la période où un rien nous « allume ».

    Et dans la vingtaine, on pète le « feu ».

    Ensuite, on « (On bûche) » jusqu'à 65 ans

    À 75 ans, on est « brûlé ».

    À 80 ans, on se ramasse dans un « (foyer) ».

    Pis à 90 ans (on s'éteint) Alors, pourquoi demander à être incinéré ?

    On est déjà « (cuit) » de toute façon.

    Si tu choisis l'incinération,

    Sache que ce sera ta dernière « (cuite) ».

    Tandis qu'enterré,

    Tu auras toujours une chance d'avoir un....

    Petit ver dans le nez !

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    Deux fois plus
    Un menuisier qui travaille au 3e étage, laisse échapper son marteau.
    Il descend pour le chercher. Le petit gars qui est en bas lui dit:
    - Mon papa a toujours deux marteaux, comme ça, si il en échappe un, il n'est pas obligé de descendre, et de perdre du temps.
    L'homme le regarde, et ne lui répond pas.
    Quelques minutes plus tard, le menuisier laisse échapper son ruban à mesurer.
    - Merde de merde grogne l'homme qui doit redescendre.
    Le p'tit gars lui fait le même commentaire et l'homme hausse les épaules.
    Une heure plus tard, l'homme descend pour pisser le long du mur.
    Le p'tit gars le regarde.
    - Tu ne vas quand même pas me dire que ton père en a deux !
    - Oui m'sieur, une petite pour pisser, et un grosse pour maman !

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....

    -C'EST DIMANCHE SOURIONS.....


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  • -HISTOIRE A FAIRE RÊVER ....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

    -23-09--HISTOIRE A FAIRE RËVER ....ET L'HUMOUR DU JOUR2

    Voici la première partie de mon dernier billet

    de septembre 2015 restée sans la suite....

    "Histoire à faire rêver"

    > Pas d’école pour Tisha <

     

    Pas d’école pour Tisha (suite)

    CHAPITRE 3

    Il sembla à Tisha que jamais la voiture ne s’arrêterait. La ville était si loin... Elle finit par s’endormir, jusqu’à ce que Zana la secoue :

    — Le voyage est terminé.

    La voiture était garée devant une magnifique maison. Dans le jardin jouaient deux enfants. Une dame, très belle, sortit. Tata Zana la salua et désigna Tisha :

    — La voilà.

    La dame dévisagea la fillette.

    — Bienvenue, petite.

    Puis elle s’adressa à Zana :

    — J’espère que ça ira.

    Avec un sourire aussi froid que les écailles d’un iguane, la belle dame guida les nouvelles arrivées au cœur de sa maison. Là, elle fit asseoir Zana au salon et lui servit du jus de fruits. Quant à Tisha, elle semblait ne plus la voir.

    — Va boire à la cuisine, lui chuchota Tata Zana.

    Tisha se perdit dans les nombreux couloirs. Lorsqu’elle revint, Tata Zana comptait une liasse de billets. Apercevant la fillette, elle cacha l’argent et dit :

    — Je reviendrai te voir dans quelques mois. D’ici là, obéis bien à la dame.

    En regardant la voiture s’éloigner, le cœur de Tisha se serra : Tata Zana était son dernier lien avec le village.

    À ce moment, un chaton efflanqué vint se frotter contre ses jambes. Tisha voulut le prendre dans ses bras, mais la dame le chassa d’un coup de pied en soupirant :

    — Je suis épuisée ce soir. Lave les enfants s’il te plaît. Puis tu prépareras le dîner. Ah oui ! Et bien sûr, ensuite, tu n’oublieras pas de nettoyer la cuisine.

    Ce soir-là, Tisha eut du mal à s’endormir. Était-ce d’être loin de sa maison ? Ou parce que la belle dame semblait si différente de sa maman ? « Ça ira mieux demain », se dit-elle pour se donner du courage. Et elle plongea au plaisir que devait ressentir Mamala en l’imaginant à l’école bientôt.

    Le lendemain, en aidant les enfants de la maison à s’habiller pour l’école, Tisha questionna :

    — Dois-je mettre, moi aussi, un uniforme pour aller à l’école ?

    Mais la dame répondit :

    — Tu n’iras pas en classe aujourd’hui, car j’ai des invités ce soir et j’ai besoin de toi pour tout préparer.

    Et Tisha passa sa journée à frotter la maison.

    Le lendemain, Tisha demanda :

    — Est-ce aujourd’hui que je commence l’école ?

    Mais la dame annonça :

    — Tu n’auras pas le temps, car c’est jour de marché.

    Et Tisha dû porter de lourds paniers, éplucher des légumes et cuisiner toute la journée. Le troisième jour, Tisha osa dire :

    — Je voudrais bien aller à l’école.

    Mais la dame répliqua :

    — Comment serait-ce possible avec ta robe trouée ?

    Ce soir-là, en faisant la vaisselle, Tisha fit tomber une assiette. La dame s’emporta :

    — Maladroite ! Ma belle assiette ! Pour la peine, je ne te donnerai pas à manger aujourd’hui !

    À compter de ce jour, chaque matin Tisha se levait la première dans la grande maison.

    Et chaque soir elle se couchait la dernière, épuisée.

    CHAPITRE 4

    Un matin, alors qu’elle allait au marché, affamée, Tisha eut une idée. Dans l’allée centrale, elle avait remarqué une marchande qui, souvent, lui souriait gentiment. En plus de vendre ses légumes, elle cuisinait des sauces au piment et des boulettes de fufu. Tisha regardait avec envie les clients qui se léchaient les doigts après avoir terminé leur assiette.

    Si Tisha arrivait à négocier les légumes qu’elle devait acheter avec l’argent de la dame, peut-être pourrait-elle s’offrir à manger avec les pièces économisées. S’approchant de la marchande, elle rassembla son courage et dit :

    — Tes tomates sont belles. Mais celles d’à côté sont moins chères. Fais-moi un prix et je t’en prendrai deux sacs. La marchande sourit :

    — Deux sacs ? Ce n’est pas assez. Achète-moi trois et j’ajouterai des tomates gratuites.

    Tisha fut déçue. Bien sûr, elle pourrait manger les tomates offertes, mais cela remplissait moins le ventre qu’une assiette de fufu à la sauce. Pourtant, cet arrangement valait mieux que rien.

    Soudain, la marchande reprit :

    — Tu as l’air maligne. Rends-moi service et je te donnerai un repas.

    Tisha hésita. Si elle rentrait tard, que dirait la belle dame ? En même temps, elle avait tellement faim...

    — Un voisin doit me livrer plusieurs kilos d’ignames sur le parking, là-bas, expliqua la marchande. Rapporte-les-moi, et, quand tu auras fini, tu auras ton repas.

    La proposition sembla honnête à Tisha. Elle allait ressembler à tous ces enfants sur la place qui, pour quelques pièces, portaient toutes marchandises dans d’énormes bassines sur la tête. La fillette répondit : — D’accord ! Mais donne-moi à manger d’abord.

    La marchande éclata de rire :

    — Oui, décidément, tu es maligne ! Et elle lui servit une assiette débordant de nourriture parfumée, Tisha la dévora sans même prendre le temps de remercier. Sur le chemin du retour, Tisha chantonnait. Certes, elle avait travaillé dur, mais le goût de la sauce sur la langue lui rappelait la cuisine de Mamala. Et la marchande, en plus, lui avait donné quelques pièces. À peine fut-elle rentrée dans la maison que la dame se mit à crier :

    — Où étais-tu ? Voici plus d’une heure que je t’attends. Et qu’est-ce que c’est que cette tache de sauce !

    La dame empoigna la fillette par le bras et serra jusqu’à lui faire mal. Tisha laissa alors échapper ses pièces, qui roulèrent sur le sol.

    — Oh ! De l’argent ! Où l’as-tu pris, voleuse ?

    Avant que Tisha ne puisse s’expliquer, la dame la secoua sans ménagement. Puis, lorsque enfin elle la lâcha, ce fut pour ramasser les pièces, qu’elle enfouit dans sa poche.

    Cette nuit-là, Tisha ne trouva pas le sommeil. Doucement, elle se faufila dans l’obscurité du jardin. Sur la branche d’un oranger, deux étoiles brillaient. La fillette s’approcha. C’étaient les yeux du chaton. Soudain, dans la grande maison, quelqu’un cria :

    — Tisha ! Tisha ! Où es-tu ? D’un bond, le chaton fila.

    Sans réfléchir, Tisha le suivit... et se retrouva dans la rue.

    Elle n’avait rien, ni nulle part où aller. Mais tant pis ! Tisha s’était enfuie.

    La fillette ne connaissait rien dans la ville, sauf le marché. C’est donc là qu’ele alla.

    La place semblait vide. Pourtant, près d’une porte ou contre un arbre, quelques personnes dormaient. Tisha retrouva l’emplacement de « sa » marchande. Là, elle se blottit dans un carton et, épuisée, s’endormit.

    Le lendemain, il faisait encore sombre lorsqu’une main se posa sur son épaule :

    — Que fais-tu là ?

    Tisha sursauta, cligna des yeux et, en un instant, l’histoire de la veille lui revint à l’esprit. Face à elle se tenait la marchande, qui la regardait avec étonnement. Tisha vit alors les marques sur son bras, à l’endroit où la dame l’avait serré fort. Elle eut honte. Mais la marchande lui sourit en lui tendant un beignet :

    — Tiens ! Il est frais...

    Puis, comme si elle savait tout :

    — Personne n’a le droit de te traiter ainsi. Tu as raison de ne pas l’accepter. Écoute-moi : je vais parler de toi à l’une de mes clientes. Elle s’occupe d’enfants dans ta situation.

    Le cœur de Tisha se serra. Et si la cliente était comme Tata Zana ?

    — Ne t’inquiète pas, continua la marchande. Son travail est de rendre les enfants à leurs parents. Elle s’appelle M’ma Yele. En l’attendant, aide-moi à garnir mon étal.

    M’ma Yele arriva en fin de matinée. Elle portait des paniers assez nombreux et assez grands pour y faire disparaître tous les légumes qui restaient sur l’étal de la marchande :

    — C’est qu’ils dévorent, ces enfants, expliqua-t-elle en riant. Mon potager ne suffit pas à leur remplir l’estomac.

    La marchande lui présenta Tisha.

    — Où est ton village ? lui demanda M’ma Yele.

    — Près du désert, répondit la fillette. M’ma Yele sourit :

    — Le désert est vaste. Dis-moi au moins dans quelle direction aller.

    Tisha n’en avait aucune idée. Avant de suivre Tata Zana, jamais elle n’avait quitté son village. Comme Mamala et la plupart des villageois.

    — Je vais chercher, promit M’ma Yele. Je vais essayer de retrouver ta famille. Et ton vilage.

    CHAPITRE 5

    M’ma Yele emmena Tisha dans une grande case claire. D’autres enfants vivaient là. À l’arrivée de la fillette, ils dansèrent et chantèrent :

    — Bonne arrivée, Tisha ! Juste à côté, dans un enclos, un troupeau de chevrettes regardait la nouvelle avec curiosité.

    Ici, on mangeait à sa faim ; la vie était calme et gaie.

    Pourtant, Tisha ne voulait pas rester. Sa seule envie était de retrouver Mamala. Mais elle n’avait pas le choix. Il lui fallait attendre et faire comme les autres enfants : chaque jour, aller à l’école, aider M’ma Yele à la cuisine ou au potager, apprendre à s’occuper des chèvres.

    Petit à petit, Tisha se fit des amis. Elle apprit des chansons et rit sans pouvoir s’arrêter, comme au village parfois. Cependant, le plus souvent possible, Tisha glissait sa main dans celle de M’ma Yele et chuchotait : — As-tu retrouvé mon village ? As-tu vu ma maman ?

    Et chaque fois M’ma Yele répondait :

    — Patience, Tisha, patience...

    Alors, Tisha sentait les larmes monter. Pour ne pas les montrer, elle filait dans l’enclos des chèvres. Tisha aimait cet endroit. Et surtout cette chevrette noire qui venait lui lécher les mains. C’était sa préférée.

    Lorsque cette petite chèvre était née, sa mère n’avait pas pu l’allaiter. Tisha lui avait donc donné à téter, jusqu’à ce que la chevrette puisse brouter.

    Un matin, M’ma Yele vint garer sa camionnette près de l’enclos. Tout sourire, elle attrapa un jeune bouc et la chevrette noire avant de les enfermer dans le véhicule.

    Tisha s’inquiéta :

    — Où emmènes-tu ma chèvre ?

    — Chez toi, répondit M’ma Yele. Veux-tu l’accompagner ?

    Lorsque Mamala vit la camionnette apparaître au bout du chemin, elle courut au-devant. Depuis des semaines, à chaque fois que la poussière du chemin s’envolait, le cœur de Mamala s’emballait et elle se précipitait. Mais à chaque fois elle revenait déçue. Tellement déçue. Ce n’était pas Tisha. Pourtant Mamala ne se décourageait pas.

    Après la fuite de Tisha, Tata Zana était revenue voir Mamala. Elle lui avait dit : « Ta fille est une ingrate. Elle vivait comme une princesse à la ville... »

    Depuis, Mamala guettait le retour de Tisha. Elle était sûre que sa fille avait eu une raison de s’enfuir. Et que, bientôt, elles se retrouveraient. Et ce jour, enfin, arriva. Lorsque Tisha jaillit de la camionnette, elle et Mamala se serrèrent si fort et si longtemps que M’ma Yele crut que ça n’en finirait jamais.

    Seule la chevrette noire réussit à les séparer. En donnant de petits coups de corne à Tisha, comme pour lui demander :

    — Où est-ce qu’on est ?

    Dans le petit village, tout près du grand désert, la pluie n’est toujours pas tombée. Mais des chevreaux sont nés depuis le retour de Tisha. Les chèvres se contentent des herbes sèches qu’elles trouvent ici et là. Leur lait apaise la faim des villageois. Mamala prend soin du troupeau, pendant que Tisha va à l’école.

    Les chevreaux grandissent. Et, avec eux, grandit l’espoir.

    Quitterie Simon

    Pas d’école pour Tisha

    Toulouse, 2010

    -HISTOIRE A FAIRE RÊVER ....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

     La saucisse du Nioufi
    Le Nioufi, commande six saucisses à la boucherie, et il demande au commis comment on la prépare.
    - De la même façon que le poisson.
    Avant de sortir, il demande à la caissière, comment on fait cuire la saucisse.
    - Comme le poisson. Simple.
    - Merci. Merci beaucoup.
    Une fois à la maison, notre Nioufi met un peu d'huile dans la poêle et la fait chauffer à feu doux pendant qu'il vide les saucisses.

    -HISTOIRE A FAIRE RÊVER ....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

    Mafiosi
    Lors d'une réunion de la petite mafia de Montréal le parrain du groupe s'adresse à Tony un jeune blanc bec Italien.
    Le patrone lui dit :
    -Tony, va à la toilette et mastourbe toi !
    Tony surpris quitte la salle, s'exécute et reviens après 10 minutes.
    Quelques minutes plus tard le patrone lui dit encore une fois :
    -Tony, va à la toilette et mastourbe toi une autre fois !
    Tony était découragé mais ne pouvait discuter. Alors il s'exécute encore une fois et reviens cette fois après 30 minutes. L'air confus et le moral amoché il dit:
    -Patrone, yé mé suis mastourbé encore une fois.
    -C'est bien Tony, assois-toi maintenant.
    Une demi-heure passe et le patrone s'adresse à Tony et lui dit encore :
    -Tony, à la toilette et mastourbe toi.
    Tony voulait discuter mais le patrone fais les gros yeux. Il file aux toilettes. Après 2 minutes il revient et s'adresse au patrone:
    -Yé peut pas mé mastourbé patrone yé peut plus bandé.
    -Tu es sour ?
    -Si, si.
    -Alors, maintenant tu peux aller recondouire ma fille.

    -HISTOIRE A FAIRE RÊVER ....ET L'HUMOUR DU JOUR.....

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