J’avais pensé, qu’un ami se choisissait
J’avais oublié, que l’amitié se construisait
Qu’il fallait d’abord, apprendre à nous connaître
Puis qu’un jour, une réelle amitié pouvait naître
Je devais être patient, nous devions nous respecter
Nous devions aussi, vouloir tout partager
Aussi avoir des buts, des projets communs
Être souple, être là au moment opportun
On peut faire du sport, de la pêche avec quelqu’un
On doit sentir que pour l’autre on est quelqu’un
Ce n’est pas que son bureau soit près du mien
Que je doive toujours être dans le sien
On peut parler de rien, ou encore de tout
Mais ça devrait plaire à chacun de nous
On peut jaser de
musique ou d’actualités
Si les goûts de l’autre sont respectés
Ou faire des trucs ensemble de temps en temps
Des choses, qui nous plaisent mutuellement
Puis un jour on se confie, on l’a enfin compris
Nous sommes devenus de très bons amis
Il est là pour moi, et moi pour lui
Et ça pourrait même, durer toute la vie
Sauf qu’il ne faille jamais, non jamais oublier
Que l’amitié on doive vouloir le faire durer
Tout comme les roses de notre jardin
Elle grandira, si entre vous, elle se sent bien
Texte Claude Marcel Breault
Un homme s'endort
Un homme s'endort plusieurs heures sur la plage et se réveille avec un terrible coup de soleil sur tout le corps.
Il s'en va immédiatement à l'hôpital et il est promptement admis pour brûlures au second degré.
Il commence déjà à avoir des cloques sur la peau et il est en quasi agonie.
Le médecin lui prescrit immédiatement un traitement :
- biafine en couche épaisse,
- un puissant sédatif,
- et une pilule de Viagra à prendre toutes les quatre heures.
L'infirmière Sandrine, surprise demande au médecin:
- Quel bienfait va donc lui apporter le Viagra dans son cas ?
Le médecin réplique :
- Ça va lui permettre de garder les draps éloignés de ses jambes !
La fée indignée
Indignée, humiliée, bafouée, la fée qui est apparue au petit Albert, sur la plage, ne ménage pas ses mots.
- Et ben toi, je ne t'oublierai pas. Quand, émue par ta misère, je te suis apparue, et que je t'ai promis de réaliser ton souhait, peu importe lequel, je m'attendais à ce que tu demande la richesse, et pas du tout de me retrouver toute nue, ligotée les mains dans le dos, avec trois autres filles dans le même état, sous ton regard lubrique! Et tu n'as que 15 ans
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Bonjour MAURICE
Je vous demande votre indulgence
Si j’omet de répondre a certain
Pour cette fin de semaine
Je ne serais pas très présent sur mes blogs
Un joyeux événement hier mercredi
Nous sommes arrière grand parent
Pour la quatrième fois un petit garçon.
Que nous rendrons visite
bon jeudi - Amitiés
56MELDIX77
le Briard Breton
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