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-Histoire à faire rêver......et l'humour du jour.....
La page de terre
Aména est une petite fille africaine. Quand elle sort de sa case, tôt le matin, elle dit au revoir à Chaka son cousin qui part à pied à l’école avec quelques provisions. Aména aimerait bien aller à l’école elle aussi pour apprendre à lire, à écrire, et à compter. Mais, elle doit aider sa maman qui a beaucoup de travail.Aujourd’hui, c’est jour de lessive. Aména accompagne sa mère au marigot. Comme elle, elle mouille le linge, le savonne, le frotte, le rince, l’essore et enfin l’étend sur l’herbe pour qu’il sèche. Elles reviennent ensuite au village, le linge plié et empilé dans des bassines qu’elles portent sur la tête. Il faudra retourner au marigot et faire plusieurs voyages pour avoir une réserve d’eau nécessaire à la cuisine, à la toilette…« Aména, il n’y a presque plus de bois pour faire cuire le repas, va en chercher ! » demande sa maman.Tout en faisant sa corvée, Aména rêve : « À quoi ressemblent les lettres ? Aux rayures du zèbre ? Aux dessins du tissu des pagnes ? À la forme des branches ? À la trompe de l’éléphant quand il chasse les mouches ? Combien de morceaux de bois ai-je ramassés ? »« Aména, Aména, apporte ton fagot pour le feu ! » crie sa maman.Quand les ignames sont cuites, il faut les piler dans un grand mortier avec un peu d’eau. La mère et la fillette en font de grosses boules et préparent une sauce. Les hommes arrivent des champs et les femmes les servent. Elles mangent à côté et surveillent le repas des enfants. Cet après-midi, Aména va garder son petit frère pendant que sa maman ira travailler au champ de mil.Elle installe le bébé sur une natte et chante une berceuse, elle chante son rêve :« J’aimerais aller à l’école. J’aimerais tant apprendre à lire. J’aimerais savoir compter. Mais toi, petit frère, tu ne comprends pas mon rêve. »Le soir tombe, Chaka revient de l’école.« Chaka, Chaka, apprends-moi ce que tu sais ! » demande Aména.Le petit garçon prend un bâton et dessine de belles lettres sur le sol, la page de terre. Il lit les mots. « Répète » dit gentiment Chaka à Aména.Il est temps d’aller se coucher, les familles rentrent dans leur case.Le lendemain matin, Aména court voir sa page de terre pour réviser, mais les lettres et les mots ont disparu.« Est-ce la nuit, est-ce le vent qui les ont emportés ? » se demande la fillette.Des larmes coulent sur ses joues. Elle pense soudain au griot, le vieux griot qui sait tout. Il est assis sous le baobab, elle court le rejoindre et lui dit : « Griot, aide-moi, les filles ont aussi le droit d’aller à l’école. Je passe trop de temps à aller chercher de l’eau. »Le griot ferme les yeux et cherche dans sa mémoire le temps ancien et raconte : « Je me souviens de la Grande Dame d’Afrique au bâton magique, noir comme la peau, rouge comme la terre et jaune comme le soleil de midi, qui trouve l’eau cachée dans le sol. Il faut la retrouver. »Le griot rassemble tous les habitants du village et ceux des villages voisins pour retrouver la Grande Dame d’Afrique.Après plusieurs semaines de recherche, un matin, Aména revient avec elle. La Grande Dame d’Afrique se déplace dans tout le village en secouant son bâton magique pendant que les villageois dansent la danse de l’eau. Soudain, le bâton se met à taper le sol. La Grande Dame d’Afrique s’écrie :« L’eau est au fond de la terre, il faut creuser ! » Au bout de plusieurs semaines de travail, enfin, l’EAU !Il y a maintenant un puits au village. La vie est beaucoup plus facile sans les corvées d’eau.Depuis, Aména et toutes les petites filles vont à l’école comme Chaka. Aména a réalisé son rêve. Et sous le baobab, elle a écrit sur la page de terre pour le griot et la Grande Dame d’Afrique : « Merci ! »La page de terreÉcrit par la classe gagnante du Concours « Lire égaux » 2009 /Laetitia LesaffreVincennes, Éd. Talents Hauts, 2010
L'or, l'argent ou le bronze ?
Albert entre dans la chambre de sa copine. Il se déshabille, et lui présente trois préservatifs.
- Alors ! L'or, l'argent ou le bronze ?
- L'argent !? Pourquoi pas l'or ?
- Parce que depuis hier, tu es le deuxième.
**************
L'avocat s'adresse à une victime d'accident qui poursuit l'automobiliste qui l'a frappée. Le plaignant est un fermier.
- Sur les lieux de l'accident, n'avez-vous pas dit au policier que vous ne vous étiez jamais senti aussi bien de toute votre vie ?
- C'est exact.
- Et maintenant vous venez vous plaindre d'avoir été sérieusement blessé par mon client quand il a heurté votre carriole ?
- Je n'avais pas le choix !!!! Lorsque le policier est arrivé, il est s'est dirigé vers mon cheval qui
avait une patte cassée, et il l'a descendu d'une balle dans la tête. Ensuite, il est allé vers Rouky, mon chien, qui se vidait de son sang, couché sur la route. Il l'a abattu lui aussi. Puis, il s'est approché de moi et m'a demandé comment ça allait. J'ai décidé de lui répondre que j'allais parfaitement bien. Je n'étais quand même pas pour lui dire que je souffrais atrocement! Je ne voulais pas crever d'une balle dans la tête !
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Commentaires
Je n'ose même pas imaginer ce que serai ma vie sans lire et écrire , et pourtant il y a encore tant d'analphabètes !!!! marrantes tes blagues surtout la seconde hihihihihi bisous bonne journée
Bonjour Momo,
Merci pour tes passages. Pour Ines, Sophie la girafe est l'indispensable objet que j'ai joint à mon cadeau de naissance. Pour mon article, mon analyse est un peu différente de la tienne, mais justement l'intérêt est la vision de chacun devant une citation, comme pour un tableau.
En lisant l'histoire d'Aména, je me suis retrouvée à l'époque où je vivais en brousse africaine. Dans ce village, il y avait une école où allaient filles et garçons, assis sur des bancs ou sur le sol et il n'y avait qu'une seule classe.
Deux fois par semaine, une petite fille de 12 ans, Myriam, passait avec sa cuvette sur la tête vendre des arachides et des noix de coco. Je la faisais asseoir près de moi sur l'escalier de la terrasse et on parlait. Un jour, je lui ai demandé si elle voulait bien me montrer son cahier d'école et j'ai été impressionnée de voir que cette petite fille aux pieds nus avait un cahier parfaitement propre et bien tenu ; et de très bonnes notes.
Je te souhaite une bonne journée; ici, ce sera avec de la pluie!
Bisous. Jackie
bonjour momo
joli conte, lire est si important
me faut de l'or je suis allergique au reste mdr
mes voisines sont tellement moches et connes mdr
mais les voisins ça va hihi
bon mercredi
bises
5mauricetteMercredi 10 Décembre 2014 à 12:19Bonjour Maurice,
Joli conte, heureusement qu'il y a de belles lectures dans notre vie .
j'aime beaucoup la blague de l'avocat, oui il valait mieux repondre que tout aller bien sinon PAN!
Une voisine comme çà , si on la vois pas trop ohoh!!!
Bonne apres midi, ici la pluie. gros bisous à++++
Bonjour Maurice encore une Histoire émouvant mais pleins de charme c est sur que le travail est dur et comme toujours ce sont les petites filles qui travaillent aident leur Maman qui elle aussi travail les petits garçons vont à l école mais une bonne fin d Histoire à la fin grace a cette fée Magique que l eau tout va merci de ce partage ainsi tes blagues et la photographie de differents Animaux dessus je vous souhaite un excellent Mercredi bisous Danielle
Bonsoir Maurice,
Jolie histoire de la petite Aména, une histoire qui finit bien !
Moi aussi je vais bien monsieur le Policier ... lol
Dis-moi elles sont sympa les voisines
Bisoussss
Une très belle histoire et qui fini bien, j'aime les images a faire sourire elles sont trop mignonnes. J'espère que vous n'avez pas trop froid, chez nous il a fait 2° jusqu'en début d'après midi après 6° ça va quand même.
Bisous bonne soirée et bon jeudi a vous deux
9ChristelleMercredi 10 Décembre 2014 à 18:28Bonsoir Momo
Fatiguée, fatiguée aujourd'hui comme tu ne peux pas t'imaginer. Mais bon heureusement ton blog me redonne le sourire et des forces c'est déjà ça de gagner ! Sympa ta voisine hi hi !
Je file à demain, bonne soirée à vous 2
Bisous
10jeannot et m christiMercredi 10 Décembre 2014 à 22:57apres une journée un peu triste au niveau du temps , un peu de plaisir , tres joli texte , j ai adoré les histoires , j ai beau y pensée bah de voisine comme cela héhéhé il faut bien rire , gros bisous a vous deux
Trés belle histoire de la petite Aména , j'aime beaucoup mais les blagues aussi , c'est bien de diversifier , je ne m'nnuie pas chez toi ! Bisous Maurice , a bientot
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- Maurice.Yves Marie
- photos cuisine humour timbres Cartes postales
- Né le 22/06/1946 retraité, 4 enfants Papy de 7 petits enfants, une arrière petite-fille, un peu râleur, marié depuis 52 ans, cartophile, philatéliste, j'aime faire la cuisine.
- Maurice.Yves Marie
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Dans le calendrierrépublicain :
Dans le calendrier républicain :
Prairial
Ange du mois :
Asmodel
Arbre du mois :
Ambriel
Fleur du mois :
Laurier
Animal du mois :
Taureau
Oiseau du mois :
Coq
Métal du mois :
Argent
Pierres du mois :
EmeraudeIl existe deux théorie sur l'origine du nom du mois de mai : (Maius), du nom de la déesse Maïa , ou Maiores, en l'honneur des sénateurs romains qu'on appelait ainsi. C'était le troisième mois de l'année.
Le 1er mai
Au temps de l'Empire romain, le 1er mai était consacré au culte de Flore, la déesse des parcs et jardins. Dans le paganisme germain, la nuit du 1er mai était celle où avait lieu le grand Sabbat annuel des sorciers. Au Moyen Age, cette date célébrait la fin de l'hiver et le retour du printemps. Pour les chrétiens, cette date marquait le jour de la fête de Saint-Joseph le charpentier.
Le 1er mai férié tel qu'on le connaît aujourd'hui a été institué en 1937 par le Front populaire, qui en a fait une fête légale, en référence aux violents affrontements qui s'étaient produits entre forces de l'ordre et ouvriers à Chicago, au XIXe siècle. Ces manifestations avaient été marquées par le décès de plusieurs personnes. Elles sont depuis devenues le symbole des luttes ouvrières.Le muguet
On attribuait autrefois à cette fleur des propriétés aphrodisiaques; elle symboliserait aussi la pureté, la renaissance, et le retour du bonheur. À l'époque romaine, le mois de mai était consacré à Maïa, le père d'Hermès, dieu du commerce. Il était alors de coutume de lui offrir cette fleur le premier jour de ce mois.
Le 1er mai, dans la ville de Bordeaux, les jeune gens confectionnaient une sorte de mât (le "mai") avec des branches d'arbres décorées de fleurs, de rubans et de guirlandes. Puis, ces "mais" étaient ensuite plantés dans les rues, et chaque soir du mois les jeunes garçons et les jeunes filles s'y regroupaient pour danser et chanter.
Selon d'autres traditions, ces "mais" étaient transportés en procession puis plantés près de la demeure des jeunes filles ou encore accrochés au volet de leur fenêtre. Les essences de bois choisies avaient aussi une signification : un "mai" en bouleau symbolisait la virginité, tandis que celui confectionné en lilas symbolisait la beauté, alors que celui en bois de ronces avait un caractère injurieux.
Traditionnellement, il est fortement déconseillé de convoler en justes noces au cours de ce mois, au risque d'avoir un mariage malheureux et d'engendrer des enfants à la santé fragile et de faible constitution.Petites sagesses gaéliques !Le riche tue le temps, et le temps tue le pauvre.
Les larmes qui coulent sont amères, mais plus amères encore sont celles qui ne coulent pas.
Une bonne parole ne coûte pas plus à dire qu'une mauvaise. -
LE TEMPS A PARIS
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Voulez-vous connaitre l'heure et la température
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Tableau d'honneur
Ma femme
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Nos enfants
Nos deux amours partis trop tôt !
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Créer mon blog
Bonjour MAURICE
Un regard bien en place
etla petite douceur fausse glace
Nous restons dans le même train
Le même convoi qui secoue les reins
Limite de la gelée au départ le matin
Où il faudrait rester dans le satin
Puis nous passons à la grisaille
A l’odeur d’une bonne cuisine a l’ail
Puis miracle arrive l’astre aux rayons
Qui ne doit manquer comme maillon
Et prêt du but la pluie au terminus
Une journée de saison et finir en bus
La complainte d’un jour d’automne
Avant le partage avec Eve de la pomme.
Amitiés
et bon mercredi
56MELDIX77
le Briard Breton
http://aveclaphoto.eklablog.com/
Tout l’automne
A la fin
N’est plus
Qu’une tisane froide.
Francis PONGE