• -HISTOIRE A FAIRE RÊVER.....ET L'HUMOUR DU JOUR .....

    -HISTOIRE A FAIRE RÊVER.....ET L'HUMOUR DU JOUR .....

    COMPATIBILITÉ AMOUREUSE

    entre les signes astrologiques

    Femme/Homme

    Chaque jour découvrez des nouveaux signes, peut-être celui qui vous concerne ?

    Aujourd'hui,

    Femme Gémeaux

    1-04-HISTOIRE A FAIRE RÊVER.....ET L'HUMOUR DU JOUR .....

    Homme Scorpion

    1-04-HISTOIRE A FAIRE RÊVER.....ET L'HUMOUR DU JOUR .....

    L'union entre une femme Gémeaux et un homme Scorpion sous-tend beaucoup de divergences qui prédestinent leur union à une existence qui ne tiendra pas sur la durée. Pourtant, on pourra noter une attirance mutuelle entre ces partenaires. Leur esprit critique pourra détruire leur relation. Il faudra donc qu'ils y prennent garde sinon ils risqueraient de tout gâcher.
    L'homme Scorpion sera séduit par la franchise et la fantaisie de sa compagne. Cette dernière trouvera chez son compagnon une grande force et en même temps un sentiment très fort. Mais au fur et à mesure que le temps passe, chacun remarquera chez l'autre des traits de caractère difficiles à accepter.
    La native Gémeaux reprochera à l'autre sa froideur apparente, son arrogance et sa jalousie presque maladive. De son côté, l'homme supportera mal le caractère un peu volage de la femme. Celle-ci aime flirter par-ci par-là et comme son compagnon n'est pas homme de compromis ni de changements, il n'acceptera pas le partage. Cependant, la femme cherchera ce courage et cette ténacité qui pourront la rassurer et il semble qu'elle les trouvera chez son compagnon Scorpion. La stabilité dont celui-ci fait preuve l'aidera énormément dans sa tendance à se disperser un peu partout. Elle en aura besoin pour pouvoir s'accomplir et trouver sa personnalité. Seulement, elle aura du mal à s'accorder avec cet homme dont la cruauté la déroutera car parfois, il peut entrer dans une colère indescriptible. Si elle tient à son union, elle devra avoir beaucoup de patience et de tolérance envers cet homme d'apparence distant mais qui cache une grande sensibilité.
    L'homme Scorpion devra, lui aussi, apprendre à maîtriser sa grande colère. Qu'il essaie également de freiner sa jalousie et admettre qu'il faudra à sa compagne plus de liberté pour qu'elle puisse s'épanouir avec sérénité. Ces deux personnages auront donc beaucoup d'efforts à fournir et de compréhension mutuelle à observer. La femme aura à apprendre à supporter les exigences que son compagnon lui posera sur le plan sexuel. Mais ce qui est positif dans cette union, c'est quand chacun des partenaires rencontrera son idéal, il se livrera entièrement à cette relation.

    Homme Gémeaux

    1-04-HISTOIRE A FAIRE RÊVER.....ET L'HUMOUR DU JOUR .....

    Femme Scorpion

    1-04-HISTOIRE A FAIRE RÊVER.....ET L'HUMOUR DU JOUR .....

    Le couple femme Scorpion et homme Gémeaux pourra entretenir une relation basée sur l'attirance. La femme sera séduite par le charme et l'intelligence de son partenaire et ce dernier admirera cette volonté et cette ténacité dont elle fait preuve pour acquérir l'objet de sa convoitise. Le sujet Gémeaux possède de l'aisance dans ses expressions et il est franc dans ses propos. La femme en est fortement impressionnée et mettra en œuvre son pouvoir de séduction pour mériter son compagnon. Le respect qu'ils éprouvent l'un pour l'autre ne fera que renforcer les liens qui existent entre eux. Cependant, ces deux personnages ont un sens critique redoutable qui pourra faire de l'ombre sur leur bonne entente. En effet, ils ne pourront pas s'empêcher de se lancer des remarques plus ou moins désobligeantes et les tensions qui en résulteront seront très vives. La violence inhérente à la femme Scorpion pourra refaire surface mais heureusement, son partenaire n'éprouvera aucune frayeur. Il faudra donc que ce couple fasse attention à leurs faits et gestes pour ne pas rompre le charme de leur relation. L'homme qui a tendance à l'instabilité rencontrera chez sa partenaire cette détermination et ce courage qui permettront d'affronter la réalité. Il essaiera de refréner son envie de jouer au compagnon volage car il aspire à mener une vie amoureuse semblable à celle de tous les couples. Avec sa compagne, il n'aura pas le temps d'aller papillonner à gauche à droite, elle saura le combler, passionnée et sensuelle comme elle est. En amour, elle pourra se révéler comme une partenaire exceptionnellement irrationnelle. La native Scorpion apprendra à maîtriser son comportement qui frise la cruauté. Ce qu'elle ne supportera pas, c'est de constater que son compagnon lui est infidèle. Elle ne lui pardonnera pas ou difficilement car elle ne pourra pas se retenir de lui faire du mal. Cet homme aura donc intérêt à bien connaître sa compagne pour adopter le comportement qui ne suscitera pas sa jalousie. N'étant ni jaloux ni possessif, il ne comprendra pas facilement cette attitude. Mais lorsqu'il découvrira qu'il est vraiment aimé, il l'appréciera.

     

    1-04-Histoire à faire rêver et l'humour du jour (2)

    Les sanglots longs des violons…

    >> lire le 1er chapitre de mercredi dernier <<

    Chapitre 2

    Une mauvaise étoile

    Broun roun roun. Le train s’éloignait de la mer et m’emmenait. C’est la guerre qui m’avait mise dans le train. Je voyageais avec Irène Erdôs, une amie de ma mère, je partais vivre à l’hôtel Primavera,147 rue d’Alesia à Paris, où elle logeait. Je ne le savais pas, mais je m’éloignais à tout jamais de mon enfance. La locomotive fonçait dans l’horizon, sans jamais s’essouffler. C’est à peine si elle reprit sa respiration en s’arrêtant à Yvetot, à Bolbec, à Rouen…

    Nous voyagions en troisième classe, mais on le sait, en troisième, les paysages sont les mêmes que pour le voyageur de première ou de seconde. Moi qui avais appris une partie du monde au cinéma, j’imaginais que c’était Jean Gabin qui conduisait ma locomotive, la Lison. Je rêvais. Tant que l’on rêve on continue à grandir, tant que l’on rêve on ne peut pas mourir, peut-être…

    À Paris, la gare Saint-Lazare nous jeta dans le métro sans même que je découvre un petit coin de ciel. Paris. C’était la guerre et les Allemands étaient partout. Ils étaient chez eux… ils le croyaient du moins. Pourtant, Paris restait la plus belle ville du monde. L’ordre allemand ne pouvait pas mettre Paris au pas de l’oie ; il ne pouvait pas empêcher la Seine de flâner entre ses rives; il ne pouvait pas empêcher la Tour Eiffel d’avoir la tête dans les nuages, elle qui est la plus grande poupée du monde.

    Pendant plus d’une année, je vécus à Paris avec Irène et son fils, le petit André. Je lui racontais mes promenades, mes matinées au théâtre ou au cinéma. Quelle belle liberté ! Mais mes parents me manquaient et Josette n’était pas avec moi. Pourtant, je fredonnais souvent les chansons à la mode, et bien sûr celles de Charles Trenet. Le petit André apprit bien malgré lui : C’est la romance de Paris… au coin des rues elle fleurit… ça met au cœur des amoureux… un peu de rêve et de ciel bleu…

    1942. Ma vie changea. Maman vint me rejoindre et ensuite papa. Mon pauvre père n’était plus tailleur. Il avait vendu sa boutique. Il avait été obligé d’aficher sur la devanture « MAGASIN JUIF ». En fait, il avait fait une vente fictive. Pour ne pas être dépossédé, il avait laissé sa propriété au père de son apprentie, avec promesse de la récupérer après la guerre.

    Nous ne nous éloignâmes pas d’Irène puisque nous avons vite trouvé un appartement, dans la rue d’Alésia, juste à côté de l’hôtel où j’avais vécu.

    1942. Il y a des années ensoleillées dans la vie de chacun, et aussi des années d’ombre.

    1942 fut une année d’ombre avant les années sombres, brunes, les années d’encre noire de ma jeunesse. La belle France éternelle exigea de tous ses Juifs qu’ils aillent se faire recenser, se faire connaître des autorités, et qu’ils portent tous, femmes, hommes et enfants, une étoile jaune cousue sur leur poitrine. Mon père, qui était le plus honnête des hommes, fut obéissant, comme beaucoup d’autres. Il n’avait pas encore perçu que c’était le début de la grande traque, que nous, les Juifs, étions un gibier qu’il fallait marquer comme des bêtes, pour nous mener à l’abattoir comme des bêtes.

    xxxHistoire à faire rêver et l'humour du jour (2)

    Nous allâmes au commissariat, et la police française nous remit notre étoile jaune, à mon père, à ma mère et à moi. C’est mon père qui, avec ses doigts expérimentés, cousit notre étoile sur nos vêtements. Il a cousu… cette étoile qui aurait pu être le début d’un conte. Elle aurait pu être une étoile du ciel venant m’inviter au grand bal de la pleine lune… pour valser avec des lutins, des elfes, des fées. Mais cette étoile était une mauvaise étoile. Cousue à la place du cœur, elle était une cible que la mort devait viser. J’avais dix-sept ans, j’étais coquette, et je fis de cette mauvaise étoile une parure. Je me promenais avec dans les rues, sans peur d’être regardée, remarquée, désignée. Je ne cachais pas mon étoile. Ma jeunesse était un peu insolence et, moi, dans Paris qui avait froid et faim j’allais, trop belle sans doute pour me cacher dans l’ombre des platanes ou des immeubles. Je ne savais pas que les rues marchaient plus vite que moi et que, déjà, elles m’emmenaient vers mon terrible destin, moi, Violette, l’étoile au si joli nom de fleur. J’étais une jeune fille, et en moi il y avait des printemps qui voulaient mûrir, comme mûrissent les cerises qui crient leur joie rouge en mai. Je ne voulais pas avoir peur de ma peur. Je ne pouvais pas imaginer que mon étoile couleur de jonquille allait me priver de quelques saisons.

    1942. Broun roun roun. Maman, papa et moi étions cette fois tous les trois dans le train,ensemble. Nous roulions vers Lille, où nous attendait le frère de ma mère. J’étais une étoile filante,tellement filante que je devenais invisible à l’œil nu : oui, nous avions jeté notre étoile. C’était l’aube d’un nouveau jour. Nous étions des clandestins, sûrs de mieux vivre à Lille qu’à Paris, sûrs de survivre à Lille alors qu’à Paris le ciel de jour et le ciel de nuit étaient en charpie au-dessus de la tête des Juifs que nous étions. Le ciel de jour et le ciel de nuit ne protégeaient plus nos vies contre les arrestations voulues par les Allemands et par l’État français qui se laissait aller dans l’engrenage allemand. L’État français n’était plus guère français d’ailleurs, avec son Maréchal-Président qui n’avait pas du tout fait le don de sa personne à la France, mais à la sangsue allemande. Maréchal-Président qui avait permis la rafle du Vel’ d’Hiv’, organisée par la police française, et l’envoi vers la mort de huit mille Juifs, dont quatre mille enfants.

    xxxHistoire à faire rêver et l'humour du jour (2)

    Le train arriva à son terminus et nous nous installâmes à Lille. J’étais née en Roumanie, j’avais grandi au Havre, je venais de faire une escale à Paris, et à présent je découvrais cette ville du nord de la France dans laquelle mes parents arrivaient, plus malheureux que le malheur lui-même. Ils me semblaient fatigués, pourtant ma mère n’avait pas encore quarante ans. — Mais, elle est grande, cette petite !

    Je souris à Michel, le frère de ma mère, qui nous accueillait à bras ouverts. Il avait dit et répété dans ses lettres : — Venez à Lille, venez, je vous attends. Ici vous serez en sécurité.

    Il ne le savait pas, mais déjà dans le monde, pour les Juifs que nous étions, lui et nous, il n’y avait pas de vraie cachette. Le loup rouge était partout à renifler, à guetter, à poursuivre, à arrêter.

    « On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans », avait écrit le poète. C’est certainement un peu vrai, puisque moi qui avais dix-sept ans, je savais que l’ordre allemand pouvait d’une seconde à l’autre me tomber sur la tête, mais je vivais… je vivais et j’aimais me promener ! Mais, par-dessus tout, dans cette vile de Lille comme à Paris, j’aimais aller au cinéma. Le ciné ! Il me semblait que la vraie vie était sur l’écran. Un beau matin, je me suis levée comme d’habitude. Je ne savais pas que ce jour-là devait être comme un dernier jour, comme un au revoir à toute ma jeunesse. Le soleil de juillet était fier dans le bleu du ciel, mais je choisis, en début d’après-midi, d’aller une nouvelle fois rêver dans la salle obscure d’un cinéma. Voir un film avec Jean Marais… le beau Jean Marais, impossible de résister à cela ! Ce film, Le Lit à colonnes, racontait une histoire de prisonnier. Après le cinéma, je rentrai sagement à la maison. J’étais bien, j’aurais aimé que les trottoirs ne soient qu’une grande marelle pour sauter d’un pied sur l’autre jusqu’à ma rue. Mais les trottoirs n’étaient pas une marelle. Pourtant, en arrivant, je tombai à pieds joints dans l’enfer. J’aperçus des voisins aux fenêtres. La Gestapo était là. Nous avions été dénoncés et les loups étaient arrivés pour nous arrêter. Je partis en courant… mais, je ne courus pas assez vite. Il m’aurait fallu dix, cent, ou mille jambes pour sortir du piège. Je fus tout de suite rattrapée.

    Mon père était déjà entre leurs crocs. Quand, moins d’une heure plus tard, ma mère arriva à son tour, elle n’eut pas plus de chance que moi.

    Premier juillet 1943, on nous avait dénoncés.

    Premier juillet 1943, j’étais prisonnière.

    Il n’y avait plus de ciel bleu dans l’été. Nous passâmes huit jours à la prison de Loos, près de Lille.

    Ensuite on nous transporta à la prison Saint Gilles de Bruxelles, où nous restâmes encore huit jours.

    Enfin, nous rejoignîmes le camp de Malines où attendaient d’autres Juifs, prisonniers, apeurés. Je ne le savais pas, mais ce camp était le frère jumeau du camp de Drancy, près de Paris, où d’autres malheureux, comme nous, étaient parqués.

    Broun roun roun. Le train. Nous n’étions pas en première classe, ni en seconde, ni en troisième. Nous n’étions pas non plus en dixième classe ou en centième classe. Nous étions dans la dernière, l’ultime classe : un wagon à bestiaux, où hommes, femmes, enfants étaient entassés. Nous étions tellement serrés qu’il était impossible de s’allonger pour dormir. Il fallait s’organiser, mais la trop grande souffrance qui était le lot de chacun empêchait que nous soyons vraiment solidaires. — Violette ? — Je suis là maman, contre toi. — Violette, ma petite… — Ne pleure pas maman, nous sommes inséparables, toi et moi.

    Mon père, comme chaque homme du wagon, se taisait le plus souvent. Il aurait voulu nous sauver, moi et ma mère. Il nous chérissait. Il était impuissant, et aucune larme ne pouvait le secourir ou nous secourir. — Il faut sortir de là. Il faut venir à bout de ce plancher et nous évader. — Non ! — Pourquoi non ? — Ceux qui ne pourront fuir payeront pour les autres. — Mais nous payons déjà, tout le monde paie pour tout le monde et nous ne savons pas vers quel malheur encore plus grand nous roulons ! — Non. Restons ensemble, ce sera mieux pour tout le monde.Ceux qui voulaient tenter le tout pour le tout étaient peu nombreux et, de notre vingt et unième convoi belge qui se dirigeait vers Auschwitz, personne ne s’évada. Personne non plus ne tenta de nous libérer. Les Allemands se méfiaient encore plus que d’ordinaire. Le précédent convoi, qui avait quitté Malines, avait été attaqué par des résistants belges. — Violette ?

    Je souris à ma mère. J’avais réussi à me recroqueviller sur le plancher du wagon et, en chien de fusil, j’avais un peu dormi. Je me relevai difficilement, laissant un autre corps se reposer à ma place. Je

    murmurai à mon père et à ma mère : — Je vous aime.

    Je ne savais pas que le grand amour d’une jeune file pour son père et sa mère ne peut rien contre la barbarie, et nous étions prisonniers des barbares. Après trois jours et trois nuits de voyage, nous arrivâmes. Le wagon s’ouvrit sur l’enfer de l’enfer. J’étais à Auschwitz, en Pologne. Je n’avais pas encore dix-huit ans.

        A suivre.....

    1-04-HISTOIRE A FAIRE RÊVER.....ET L'HUMOUR DU JOUR (2)


    MARIAGE: Union qui permet à deux personnes de supporter des choses qu'elles n'auraient pas eu besoin de supporter, si elles étaient restées seules.
    PARENTS: Deux personnes qui montrent à un enfant à parler et à marcher, pour ensuite lui dire " ferme ta gueule pi assis toi ".
    PÉNIS: Une petite racine au bout d'un gros légume.
    PERFECTIONNISTE: Personne incapable d'apprécier la musique de Tchaïkovski si elle ne sait pas épeler son nom.
    PÉTER: Éternuer dans ses sous-vêtements.
    POINT "G": Point sensible de la femme situé entre ses orteils et ses cheveux.
    POISSON: Animal dont la croissance est excessivement rapide entre le moment où il est pris et le moment où le pêcheur en fait la description à ses amis.
    PSYCHIATRE: Homme intelligent qui aide les gens à devenir cinglés.
    SANG-FROID: Chose facile à avoir au mois de décembre.
    SEXE ORAL: Parler de cul.

    1-04-HISTOIRE A FAIRE RÊVER.....ET L'HUMOUR DU JOUR (2)

    1-04-HISTOIRE A FAIRE RÊVER.....ET L'HUMOUR DU JOUR (2)


  • Commentaires

    1
    Mercredi 1er Avril 2015 à 05:02

    HISTOIRE HOMME - FEMME    01/04/2015

    BONJOUR  MAURICE

    HIER SANS PLUIE MAIS UN VENT DE TEMPETE

    Après mars avec pluie vent

    Voici avril a qui nous demandons

    Le changement et le début du printemps

    Et que LE plein air soit la priorité

    Je vous souhaite

    Un très bon début de mois

    Avec poisson sans arrêtes

    AMITIES 

        56MELDIX77   

       le Briard     Breton    

     

    http://aveclaphoto.eklablog.com/

    2
    Mercredi 1er Avril 2015 à 08:28

    La suite de l'histoire et longue comme la galère de ces pauvres juifs qui ont souffert avec ces guerres, j'attends avec impatience la suite. Le pauvre écureuil l'autre devait rouler vite bien sur. La dame c'est fait avoir avec le 1er Avril. Bisous bon mercredi a vous deux et vive le 1er Avril qu'il nous ramène enfin le beau temps, mais je pense qu'aujourd'hui nous allons avoir de la pluie. GIF POISSON D AVRIL

    3
    Mercredi 1er Avril 2015 à 10:43

    "Le sanglot long des violons"   Que de tristesse, de misère pour l'homme causé par l'homme...

    Cette semaine de pâque est un peux surchargée aussi je suis moins présent sur le net...

    4
    Mercredi 1er Avril 2015 à 11:53

     

     

     

     c'est pas moi lol

     bonne journée

     bisous

    5
    Mercredi 1er Avril 2015 à 12:03

    J'aime beaucoup tes définitions ,ainsi que ta blague photo ; mais l'histoire ressemble tellement à celle de mes grands -parents ........ Auschwitz ce nom j'en ai une aversion 

    Avril bisous ensoleillés mais venteux aujourd'hui 

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    6
    Mercredi 1er Avril 2015 à 15:53

    Hello Maurice,

    Je te souhaite un bon poisson d'avril, signe de la venue du printemps j'espère qu'il ne va pas nous faire un poisson d'avril lui !

     

    Bisousss

    7
    Mercredi 1er Avril 2015 à 16:24
    LADY MARIANNE

    j'arrive , en retard mais je suis là !!
    difficile de lire de l'humour après ce texte de déportation horrible-
    bisous et bel aprem !

    8
    Mercredi 1er Avril 2015 à 18:55

    Bonsoir Momo,

    Je suis venue lire la suite; Pauvre Violette, on se demande comment des millions de Juifs ont pu aller à l'abattoir, sans protester. Le nord de la France n'était pas l'endroit le plus sûr; ma famille a beaucoup souffert durant la guerre.

    Pour la roue du portrait (pas de la fortune!) la broderie n'y est pas car lorsque je suivais ce cours, il y a quelques années, je n'en faisais pas, je n'avais pas le temps.

    Bonne soirée, après cette belle journée.

    Bisous. Jackie

            

     

                                    Jolie déco

    9
    jeannot et m christi
    Mercredi 1er Avril 2015 à 23:02

    heureusement que tes blagues sont la pour nous faire rire , c pas comme la lecture qui est malheureusement vrai     hélas ,quelle barbariefrown ,  a la semaine prochaine pour la suite   , sa c du poisson d avril  , pauvre femme    happy   bisous a tous les deux 

    10
    mauricette
    Jeudi 2 Avril 2015 à 15:02

    Bonjour Maurice,


    Bien triste histoire !!!


    As tu manger le poisson du 1er Avril ??


    Déjà Avril pffff...


    Le coucou a chanté hier pour la 1ere fois de l'année, signe que le printemps est là, sauf que se matin gla gla  2°...


    Bonne après midi, bisous à+++.

    11
    Mercredi 8 Avril 2015 à 00:20

    un terrible moment que cette guerre

    et le 1er avril se fête moins qu'auparavant

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :