• -Histoire à faire rêver.....et l'humour du jour.....

    18-02-Histoire à faire rêver.....et l'humour du jour.....

    Le bonheur est sous la couette

    15-02-C'est dimanche sourions......

    (Merci à Christelle pour cette image)

    Sous cette rubrique

    15-02-C'est dimanche sourions......

    18-02-Histoire à faire rêver.....et l'humour du jour.....

    Un nouveau signe chaque jour !

    Cancer

    (du 20-6 au 22-7)

    ( Le mien ! )

    grd-cancer.jpg

    Sous la couette

    Chez le Cancer, l'amour s'exprime avec le corps avec de se définir par des mots. A l'image des différents aspects lunaires, il traverse des phases de grandes boulimie charnelle, suivies de périodes où il semble manquer de sérieusement d'appétit. Par crainte de la routine, le Cancer garde en réserve une gamme de jeux érotiques divers qu'il propose au gré de ses humeurs.

    La vie à deux

    Le Cancer a besoin de temps avant de savoir se situer. L'éloignement l'angoisse, mais trop de présence aussi. Petit à petit, il finit par établir la bonne distance. Malgré un attachement profond, il ne supporte pas  la frustration, et multiplie les scènes afin que ses désirs soient exaucés. Distant en public, il privilégie les moments d'intimité à travers lesquels il offre le meilleur de lui-même.

    Le premier câlin de Mme Cancer

    Vous l'imaginez docile et vous la découvrez intrépide dans ses élans charnels. Madame Cancer fait tomber les barrières de la pudeur pour vous offrir son corps tout entier ; et jusqu'aux tréfonds de son âme.

    Le premier câlin de Mr cancer

    Il ne considère pas l'acte amoureux à la légère. Pénombre et cadre feutré pour détendre l'atmosphère. Musique classique et chandelles pour accompagner vos effusions nocturnes. Le rideau s'ouvre !

    18-02-Histoire à faire rêver.....et l'humour du jour

    18-02-Histoire à faire rêver.....et l'humour du jour

    La petite fille de la pluie

    Avec papa et maman nous étions en vacances en Normandie sur une île, dans une maison de location, toute petite et coquette. Mais je m’ennuyais. Je me sentais seule. Alors tous les jours j’allais m’asseoir sur un gros rocher, planté dans le sable de la plage et je regardais les milliards de vaguelettes danser la lambada sur la mer.

    Dans le ciel, les nuages gorgés d’eau faisaient la course défilant à toute vitesse, comme s’ils ne voulaient pas faire de l’ombre au soleil blanc. Au loin, les mouettes se confondaient avec les voiles des bateaux. La plage était presque déserte, sans doute à cause de l’eau trop froide. Un vent léger soufflait. Quand il s’engouffrait dans les cheveux des deux petits garçons blonds qui jouaient avec un cerf-volant, pas très loin de moi, il les faisait flotter avec beaucoup de grâce et de légèreté. C’était beau à voir. J’aurais aimé avoir des cheveux aussi fins, à la place de mes frisettes.

    Les deux garçons étaient jumeaux, tout blancs et tout beaux. Ils habitaient avec leurs parents dans une maison de location parallèle à la nôtre. À chaque fois que je les rencontrais sur la plage, papa me taquinait en me disant d’aller jouer avec eux. Je n’osais pas. Dans leurs yeux, quelque chose me déplaisait. Mais j’avais très envie de jouer avec leur cerf-volant, le tenir entre mes doigts, fermer les yeux et m’envoler avec lui là-bas en haut, là où les mouettes faisaient des pirouettes…

    Un jour, le cerf-volant piqua et tomba à mes pieds. Une chance ! L’occasion rêvée de faire connaissance avec mes deux voisins. Je me levai, ramassai l’objet et le tendis aux garçons qui s’étaient approchés de moi. Je leur souris et dis que leur cerf-volant était très joli. Silen­cieux, ils me fixaient avec un air pas gentil du tout. Tout à coup l’un d’eux me prit le cerf-volant des mains et le reposa à terre, là où il était tombé.

    — Tu touches pas à notre cerf-volant !
    — Pourquoi ? demandai-je, étonnée.
    — Parce que t’es pas comme nous !
    — Si, je suis comme vous !
    — Non, dit l’autre, non !

    Je baissai les yeux sur moi pour me regarder. Je me voyais blanche, juste un peu bronzée par le soleil d’été.

    J’étais triste et énervée à la fois. Je ne comprenais pas. C’était la première fois qu’on me disait des méchancetés comme ça. Je voulus demander la raison à papa, mais il s’était endormi. Alors je me suis rassise sur mon rocher et je me suis remise à regarder la danse de la mer. Je voulais pleurer. Je regardais sans cesse ma peau, touchais mes cheveux frisés. Et si je n’étais pas comme eux ?

    Voilà que, sans prévenir, l’atmosphère se brouilla. Des nuages dans le ciel s’amoncelèrent. Le cerf-volant se détacha et s’évanouit dans l’air. Les deux garçons poussèrent des cris de stupéfaction. Je sentis qu’il se passait quelque chose. Un puissant rayon de lumière se fraya un passage entre ciel et terre, comme un couloir transparent. Une forme glissa à l’intérieur, en sortit, puis vint se planter devant moi, extraordinaire. Elle me regarda dans les yeux et dit « Je suis la fille de la pluie ».

    Elle avait la grâce d’une fée, habillée d’une robe taillée dans des nuages aux reflets gris-bleu, soyeuse comme une caresse. Ses long cheveux étaient des vagues turquoises qui jaillissaient vers ses pieds, son visage semblait sculpté dans le vent, par le vent, finement, dans ses yeux luisaient deux perles d’or dans lesquelles je vis le cerf-volant. À ses oreilles pendaient deux boucles, deux gouttes de pluie qui faisaient une fontaine magique.

    Bouche-bée, je ne pouvais plus parler. Elle souriait toujours. Elle me dit qu’elle avait tout entendu d’en haut. C’est pour ça qu’elle avait subtilisé le cerf-volant. Elle me le tendit en disant :

    — Tiens, tu iras leur rapporter toi-même... Puis elle dit : — Tu es très belle, Faema, avant de disparaître dans son couloir de lumière.

    Ensuite tout redevint normal. J’avais dans les mains un cerf-volant incrusté de minuscules étoiles multicolores. Je le rapportai aux deux garçons. Dans leurs yeux, maintenant, on voyait l’émerveillement ! Ils pensaient que j’étais une magicienne…

    Je dis seulement :

    — La petite fille de la pluie, grise et bleue, venue du ciel, me l’a rapporté pour vous.

    Et c’est ainsi que je devins leur copine.

    Azoug Bégag 
    Jean-Hugues Malineau ; Claire Nadaud (org.) 
    Almanach
    Amiens, La Charte Corps Puce Jeunesse, 1996

    18-02-Histoire à faire rêver.....et l'humour du jour 

    L'histoire d'une femme

    C'est l'histoire d'une femme qui a la suite d'un cancer a du se faire enlever un sein.

    Elle déprime beaucoup, dépression, pleurs, révolte etc....
    Un jour elle aperçoit un jeune homme dans la trentaine, il était sur le trottoir et n'avait pas de bras, mais avait un walkman sur les oreilles et dansait continuellement, en se faisant aller de gauche a droite continuellement et se déhanchait. elle s'est dit que s'il n'avait pas de bras  et pouvait danser comme ça il devait avoir une bonne philosophie de la vie, elle décide de lui demander demander son truc afin qu'elle puisse l'appliquer et reprendre gout a la vie
    Elle s'approche de lui et lui demande; monsieur je viens de me faire enlever un sein à la suite d'un cancer et j'ai le moral très bas, je vous vois danser dans tous les sens malgré le fait que vous n'avez pas de bras, pouvez vous me dire comment vous faites?
    Le gars lui réponds; » je danse pas grrrrrrrrrr ! J'ai le trou de cul qui me pique»    
     
    Nudisme
    Venu passer les vacances dans un camp de nudistes avec ses parents, Christophe (6 ans) demande à son père :
    - Pourquoi il y a des messieurs qui ont un gros zizi alors que d'autres en ont un tout petit ?
    - Ceux qui en ont un gros sont intelligents et les autres sont stupides.
    Un peu plus tard, le père s'adresse au fiston...
    - Sais-tu où est maman?
    - Derrière la tente bleue, avec un monsieur qui est très très intelligent.

    18-02-Histoire à faire rêver.....et l'humour du jour

    18-02-Histoire à faire rêver.....et l'humour du jour


  • Commentaires

    1
    Mercredi 18 Février 2015 à 00:21

    tu m'excuses mais je n'avais pas remarqué que les dates étaient notées et quand j'ai du retard c'est que j'ai eu des occupations  par ailleurs, je fais du bénévolat et cela me prend du tps et parfois il faut que je consacre mon tps pour des papiers à remplir pour mon compagnon et moi et j'ai ma santé à soigner, je n'ai pas à me justifier de mes retards mais quans j'en ai ce n'est pas de la mauvaise volonté

    2
    Mercredi 18 Février 2015 à 01:57

    Hello Maurice

    Je viens faire un ti coucou en plein nuit,

    pendant que mon Domy boit une boisson chaude,

    il a beaucoup de fievre !! Pas de chance cet hiver

    nous deux !! vive le printemps !!

    La blaque du sans bras , hilarante !

    3
    Mercredi 18 Février 2015 à 04:33

    Bonjour  MAURICE

    Un arret pendant le retour

    Bien moins pressés de rentrer

    que pendant l'aller du trajet

    Le soleil avant les pluies

     Belle et agréable

     Journée de mercredi  

    Pour nos hier c'était Printemps

    Amitiés 

        56MELDIX77   

       le Briard     Breton   

     

    http://aveclaphoto.eklablog.com/ 

    4
    Mercredi 18 Février 2015 à 09:02
    LADY MARIANNE

    une belle histoire sur le racisme qui débute déjà chez les enfants !
    un humour osé !! faut bien s'éclater !
    bonne journée ! bisous !

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    5
    Mercredi 18 Février 2015 à 10:20

    Oui, pas comme nous.... c et bien c'est pas facile à assumer... nous à la campagne nous n'étions pas Catho... on n'allait pas à la messe, alors... il fallait aussi assumer..., ça forge le caractère...  et prépare pour la vie à se battre...

    6
    Mercredi 18 Février 2015 à 12:03

    coucou  momo  cancer

     le cancer est famille, ma mè est cancer  ,me prend la tête!!

     une belle histoire  en normandie

    tire

    le rideau mdr

     

     bon mercredi

     big bisous

     

    7
    Mercredi 18 Février 2015 à 14:10

    Pourquoi ai-je pensé au cuisinier à qui il manque une mais !!lol     alors t'es intelligent toi???? 

    Merci pour cette histoires dans l'air du temps, pas de sortie j'ai mes copines vers 16h ca donnera cela  bises

    8
    mauricette
    Mercredi 18 Février 2015 à 15:57

    Bonjour Maurice,

    Belle histoire que tu nous racontes là...

    Les blagues sont rigolotes, je connaissais la 1ere...

    Bien des gens pensent que ont ne les voient pas derrière les rideaux, eh pourtant  hihi.

    Ici soleil à volonté , eh le carnaval défile aujourd'hui.

    Bonne fin d'après midi, bisoussss à++

    9
    Christelle
    Mercredi 18 Février 2015 à 16:49

    Bonsoir Momo,

    Comme tu t'en doutes je suis ko aujourd'hui, je lirais donc ce beau billet au vu du final hi hi ! demain espérant que ma forme soit revenue.

    Bonne après-midi à vous 2 !

    Bisous

    10
    Mercredi 18 Février 2015 à 17:12

    Une magnifique histoire il y a un moment un peu triste mais elle fini bien. Le rideau ne sert pas a grand mais au moins il y en a qui ce rince l'oeil !!!! happycool Bisous bonne soirée 

    et bon jeudi a vous deux 

    11
    jeannot et m christi
    Mercredi 18 Février 2015 à 22:57

    une tres belle histoire et qui fini bien , tres bonnes histoires j adore  ,   et le rideau ne suffit pas toujours      héhéhéhé       bisous a vous   wink2

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